Une édifiante partition musicale détenant dans ses décibels répétitifs les notes accélérées d'un monde dont les directives contemplatives s'éteignent au profit d'un espace vente aux cadences infernales basées sur l'épuisement et le renouvellement de ressources robotisées n'étant plus que les otages de leurs technologies.
Quatre vingt minutes de Spinoza à l'enseigne. De l'autonomie à la dépendance. De la gestion spontanée à la logistique thématisée sur un site en excès de vitesse n'ayant plus un regard sur l'évolution naturelle de son histoire.