Je l'ai visionné pendant 40 minutes , j'ai dormi 15 minutes . Un documentaire sur l'homme , mais plutôt sur le propre de l'homme : le Progrès.
Le film veut nous faire contempler le progrès , comment ?
On est dans le ciel , on regarde le monde assis sur un nuage de manière surhumaine évadé du temps et du petit monde réduit qui nous entoure , comme un dieu . Ainsi, une journée dans une grande ville n'est plus qu'un instant , on voit les choses se détruire et devenir passé pour laisser place à l'avenir .
Les thématiques de ce film je les ai reniflé dès le début de mon visionnage , l'homme et le temps , l'absurdité de l'existence , les traces du passé les plus profonde qui finissent elles aussi par mourir , La création intimement liée à la destruction.
Les autres crient au Chef d'oeuvre , toutes ces critiques positive et cet place au top 111. Je pense que tout cela est une plaisanterie , ce film c'est la vie c'est tout, la vie universel , c'est juste philosophique c'est le progrès qui dépasse le temps: l'Homme avec un grand H.
Moi , tout ça me divertis en rien, j'avais déjà ça en moi puisque comme vous je vis avec ce monde et avec ces questions existentielle dans la tête qu'on ne peut que contempler .
Le film est une succession de métaphore sur le progrès , une seule aurait suffit au lieu de nous bassiner pendant 1h 20 min , pour moi l'exemple le plus parlant est un plan
dans le désert ou l'on peut voir une explosion filmé au ralenti , une épaisse fumée noire prends la forme d'une fleur qui ne cesse de pousser un peu plus vers le ciel un mélange de création et de destruction , le chaos qui fleurit , une fleur de destruction qui grandit , bref détruire puis construire , une photo de cette scène aurait suffit .
DÉTRUIRE CONSTRUIRE DÉTRUIRE CONSTRUIRE DÉTRUIRE CONSTRUIRE DÉTRUIRE
Comme la musique du film qui change souvent mais se répète tout le temps .
Le progrès c'est détruire le passé , ça détruira aussi l'avenir .
Bref, la contemplation du progrès ça n'as ni queue ni tête , ça nous dépasse, c'est un serpent qui se mord lui même , c'est 3.14 et une infinités de nombre qui suit. Ces choses là me font dormir et m'enmerdent plus qu'elles éveillent en moi des émotions et des sentiments fort qui mènent parfois aux larmes comme j'ai pu parfois le lire dans certaines critiques élogieuses de ce film.