
La fameuse révélation finale (sur la paternité de Dark Vador) ne surprend pas vraiment : elle est déjà annoncée aux spectateurs lors de la formation de Luke par Yoda (le visage de Luke se superposant à l'armure de Vador).
Nous voilà plongé dans le meilleur épisode de la série (de très loin, d'ailleurs). Les scènes sont réussies, parfois inattendues (la première apparition de Yoda, qui se comporte comme un sale gosse) ou impressionnantes (le duel final Vador-Luke). En plus, avec l'omniprésente musique de John Williams, l'expression "space opera" prend tout son sens. Du cinéma divertissant et bien foutu.