La Guerre des mondes par Cylon
Spielberg met une fois de plus la technique au service de l'art, et sa virtuosité picturale (quels plans séquences, quelle mise en scène !) au service de son propos. Une ambiance Hitchcockienne, pour un récit exprimant -comme Munich- un pessimisme rare et un regard désabusé sur notre expèce. Le happy end, outre un ultime respect envers le darwinisme de l'oeuvre de Wells, souligne la seule chose qui compte vraiment pour Spielberg : la cellule familiale, clé de voûte de son oeuvre. Spectaculaire et passionnant
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