3
Quel foutoir...
Combien de fois me suis-je demandé si je n'aurais pas dû faire une carrière en tant que scénariste ou metteur en scène dans le cinéma d'épouvante ? Je ne les compte plus.. En fait, après chaque film...
Par
le 5 juin 2012
11 j'aime
Parfait pour se faire peur le samedi soir
Une mise en scène aussi convenue dans la forme que sublime en terme technique. Quel dommage, les images fascinent par leur beauté et s'évanouissent aussitôt, par manque de chair ou tout simplement d'originalité. Dans le registre du refoulement de l'enfance bafouée, de l'orphelinat, des blessures des grandes guerres, et bien sûr des fantômes, les cinéastes espagnols font bien mieux ces dernières années (l'Échine du Diable). Un pur produit BBC, parfaitement maitrisé, qui aurait peut-être mérité un peu d'ambition artistique.
5
Écrit par
Créée
le 15 mars 2012
Critique lue 721 fois
D'autres avis sur La Maison des ombres
6
Critique de La Maison des ombres par Sophia
Le film s'ouvre sur une jeune femme se rendant à une séance de spiritisme au début du siècle. Tout y est, l'ambiance gothique, la médium, ses clients lui faisant face les mains nouées les unes aux...
Par
le 30 janv. 2012
10 j'aime
4
5
Soupe de twists
Un film de maison hantée britannique, par ici la bonne soupe ! Et la première scène promet des très bonnes choses. Une séance de spiritisme habitée, une apparition fantomatique étrange soigneusement...
Par
le 18 mars 2012
9 j'aime
6
Du même critique
4
Critique de Les derniers jours de Stefan Zweig par stephbeaujean
Quant on s'attaque à la biographie du biographe par excellence, mieux vaut être armé d'une vision ambitieuse. Or ce portrait des derniers jours de Sweig ne s'ourle jamais d'ambiguïté, ni ne parvient...
le 28 févr. 2012
5 j'aime
1
6
Le revers Américain d'"Une partie de campagne de Depardon"
Les documentaires sur les campagne présidentielles ne sont pas courant. Probablement leur honnêteté contrainte par le régime du secret propre au milieu politique ne dupe personne. Celui là ne déroge...
le 16 mars 2012
3 j'aime
8
Peter Weir période Australienne, jeune et déjà ma^tre de son cinéma
Peter Weir, sur sa terre natale, encore loin d'Hollywood, dresse le portrait d'un pensionnat pour jeunes filles de bonne famille du début du siècle dernier. L'éducation rigoriste anglaise est...
le 5 mars 2012
2 j'aime
