Ah, Foster revit : il fallait qu’on lui fît jouer dix ans de moins que son âge pour la réconcilier avec une production qui en valût la peine. D’ailleurs, le film s’accroche aux années 80 avec des crochets grands comme ça, s’assurant d’exploiter au maximum l’époque où l’ambiance universitaire était à l’honneur qu’immortalisèrent d’autres œuvres d’époque en se servant du sport comme ciment ;... Lire la critique de La Mémoire brisée