cronenberg continue l'exploration de son obssession de l'epoque: la transformation des corps. et la il vas depasser tout ce qu'il avais produit auparavant. on peut lire le film comme une metaphore sur le sida dont on commencais tout juste a parler en 1986, mais je le vois plus comme un film precuseur de la theorie de l'homme augmenté. C'est aussi un film sur l'amour fou, sur le depassement, sur la capacite a surmonter la decheance physique. bref, c'est un monument, un chef d'oeuvre intemporel tous genres confondus.