Malgré un casting 5 étoiles, avec un Charlton Heston des grands jours et une étincelante Janet Leigh, cette oeuvre souffre d'un soucis de rythme indiscutable. Alors que sa première moitié parait interminable, la deuxième aura eu le mérite de nous tenir en haleine jusqu'au bouquet final. Un opus somme toute moyen, qui restera dans les annales pour quelques scènes mythiques dont seul un Orson Welles, même vieillissant, a le secret.

Dark-M-15
6
Écrit par

Créée

le 22 oct. 2018

Critique lue 185 fois

Dark-M-15

Écrit par

Critique lue 185 fois

D'autres avis sur La Soif du mal

La Soif du mal
pphf
8

« Je dois tourner un thriller chez Universal, avec Charlton Heston en Mexicain … » *

*Tim BURTON – « Ed Wood » (propos prêtés à Orson Welles, interprété par Vincent d’Onofrio, lors de sa rencontre avec Ed Wood dans un bar de Hollywood) Au reste les autres principaux rôles de «...

Par

le 4 mai 2014

62 j'aime

11

La Soif du mal
reno
10

Critique de La Soif du mal par reno

Le plan-séquence chez Welles a une double fonction dans son déroulement d'abord et dans son interruption ensuite. Classiquement le plan-séquence traduit l'écoulement du temps sans solution de...

Par

le 7 févr. 2012

59 j'aime

12

La Soif du mal
Kalian
10

Critique de La Soif du mal par Kalian

Avant de voir ce film, ma connaissance d'Orson Welles se résumait à une œuvre, Citizen Kane. Si elle est considérée par beaucoup comme l'une des meilleures pellicules de l'histoire du cinéma, les...

le 14 août 2010

50 j'aime

6

Du même critique

The Neon Demon
Dark-M-15
6

Soit folle et tais-toi !

Nicolas Winding Refn ne change pas une équipe qui gagne, ou presque ! A l'instar d'Only God Forgives ou de Drive, on assiste ici a un véritable florilège visuel et graphique, certainement d'ailleurs...

le 18 oct. 2018

La Soif du mal
Dark-M-15
6

Le Bon, la Belle et le Truand

Malgré un casting 5 étoiles, avec un Charlton Heston des grands jours et une étincelante Janet Leigh, cette oeuvre souffre d'un soucis de rythme indiscutable. Alors que sa première moitié parait...

le 22 oct. 2018