Le film La domination masculine a vraiment très peu d'intérêt parce qu'il s'adresse exclusivement à ceux qui sont déjà convaincus, pour les conforter dans leur position. Pour le reste du monde, les ficelles utilisées sont tellement grossières qu'il me semble vraiment difficile de se faire avoir.


Le film utilise la bonne vieille méthode du biais de confirmation — que l'on retrouve dans presque tous les documentaires "engagés" — en ne sélectionnant et ne montrant que des faits allant dans le sens de la thèse de départ, éludant tous les faits qui pourraient l'invalider. Voici par exemple un échantillon de faits dont on ne vous parle pas dans le film :



  • Il y a beaucoup plus d'hommes qui se suicident que de femmes.

  • Il y a beaucoup plus d'hommes en prison que de femmes.

  • Il y a beaucoup plus d'hommes SDF que de femmes.

  • Pour le même crime et le même passif, les hommes reçoivent généralement des peines plus lourdes.

  • L'espérance de vie des femmes est plus grande que celle des hommes.

  • Il y a plus de femmes que d'hommes à l'université et elles ont plus de diplômes, d'honneurs et de récompenses.

  • Les travaux dangereux et sales sont très largement effectués par des hommes et l'immense majorité des morts dû aux accidents du travail sont des hommes.

  • La grande majorité des victimes de crimes violents pris dans leur ensemble sont des hommes.

  • Davantage d'hommes sont la cible de menace de violence physique sur Internet que de femmes.

  • Les hommes sont plus souvent victimes de coercition reproductive que les femmes.

  • Les femmes sont avantagés concernant la garde des enfants.

  • La grande majorité des meurtres d'enfants et abus sur les enfants sont commis par des femmes.

  • La grande majorité des personnes atteintes de troubles autistiques sont des hommes.

  • Bien que la violence conjugale existe dans les deux sens, il n'existe pas de refuges pour les hommes. Et la grande majorité des refuges refusent les hommes.

  • La violence physique des femmes envers les homme est la plupart du temps ignorée, non-comptabilisée et non prise en compte.

  • Il y a un peu plus de cancer de la prostate que de cancer du sein. Pourtant ces derniers sont beaucoup plus médiatisés reçoivent beaucoup plus de fonds.

  • La quasi-totalité des sites de rencontres sont gratuits pour les filles, payants pour les hommes.


Et on pourrait continuer ainsi longuement. Si on avait fait un film qui met exclusivement en exergue ces données là — avec des images choquantes qui vont bien, à la manière de Patric Jean — et qu'on l'avait intitulé "La domination féminine", qu'aurait-on dit alors ? N'aurait-on pas trouvé la méthode grossière ?


Le préjugé de base du film, qui est en fait l'axiome indiscutable du féminisme moderne, est que les différences de comportements, de goûts, de rôles entre les hommes et les femmes sont le pur fruit d'une construction sociale et donc des conventions arbitraires. C'est la société qui nous détermine et qui oblige donc les femmes — même de façon inconsciente — à se trouver en condition d'infériorité.


Ainsi, des phénomènes tel que les différences entre les jouets pour garçons et les jouets pour filles (entre autres exemples) sont perçus comme une des causes de ces différences, et non comme une des conséquences. Or c'est bien la question qu'il conviendrait de discuter et sur lequel il faudrait fournir des arguments. Car en effet, s'il ne s'agit pas de pures constructions sociales mais de différences naturelles entre les hommes et les femmes — en partie au moins, ceci n'élimine pas l'existence d'influences culturelles — alors on ne verra évidemment pas les choses de la même manière. Mais pour le film, c'est acquis.


(Sachez en passant qu'aujourd'hui on peut perdre son travail si on ne reconnaît pas la théorie de la construction sociale, comme ce fut le cas récemment pour James Damore, ex-employé de Google.)


C'est sous l'influence indirecte de la philosophie postmoderne — dont les penseurs étaient tous des mâles blancs hétérosexuels, à part Foucault qui était mâle blanc homosexuel — que le féminisme moderne a adopté ces préjugés. C'est d'ailleurs ce qui différencie le féminisme moderne, dit de "troisième vague", du féminisme d'origine. Évidemment, il n'y a jamais eu de preuve que ces différences soient entièrement le fruit de "construction sociale". En fait, c'est plutôt le contraire : la science tend plutôt à montrer que les différences ont une explication biologique et parfaitement naturelle. Ce point mériterait bien sûr d'être amplement développé, et je le ferais peut-être à l'occasion d'une autre critique, mais c'est un vaste sujet et ce film n'en vaut pas la peine car il ne fournit aucun argument à cet égard. On pourra donc se contenter pour l'instant du proverbe latin : Quod gratis asseritur gratis negatur.


La philosophie postmoderne, matrice du féminisme contemporain, dérive quant à elle du marxisme. Il se trouve par hasard qu'il y a quelques mois, j'ai eu une discussion épistolaire avec un ami qui me soutenait que le postmodernisme n'avait rien à voir avec le marxisme. J'ai réussi à le convaincre du contraire en lui montrant, par une sorte d'analyse "structuraliste", que si on retire la chaire pour garder le squelette, autrement dit si on change le contenu tout en conservant la structure de pensée qu'a inventé Marx, on retrouve exactement le même schéma dans le marxisme et le postmodernisme. Voici ci-dessous cette structure telle que je lui ai décrit par email (Précision importante : quand je parle de "l'homme", je fait référence à "l'être humain en tant qu'individu".) :



La réification d'une catégorie, d'une situation ou d'un groupe auquel appartient l'individu. Cette catégorie / ce groupe / cette situation prédomine et prime sur l'homme en tant que tel, lequel n'existe pas chez Marx, comme tu le signales à juste titre. C'est donc ceci qui est l'objet de l'analyse, la source d'explication, et non plus l'homme. On analyse celle-ci dans son/ses rapport(s) (de force nécessairement) avec les autres catégories ou les autres groupes. Les usages humains sont déterminés par des catégories. Ce ne sont plus les hommes qui font des choix, pensent ou agissent d'après leurs idées, ce sont les catégories (et leurs rapport mutuels) qui agissent à travers les individus. Comme les usages et les codes humains (tel que le droit, la justice...) ne sont que des produits arbitraires des catégories (des conventions) le mal ou l'injuste réside dans la "domination" d'une catégorie sur une autre. (Domination = Oppression ; la notion d'oppression, de violence ou d'esclavage n'est plus nécessairement associé à la force physique) Si une catégorie souffre (car ce ne sont plus des humains qui souffrent, mais des catégories) c'est donc qu'elle est légitimement victime et qu'elle est ce pourquoi (et pour qui) il faut changer la société. A ce titre, on doit lui fournir, non pas des droits égaux (masque de la domination, donc de l'oppression), mais davantage de pouvoir. C'est le sens du progrès. A terme, il faudrait abolir les catégories, lesquelles sont finalement la source du mal.



Je ne pensais pas particulièrement au féminisme en écrivant cela. Toutefois, j'attire votre attention sur le fait que cette structure s'applique aussi bien au marxisme qu'à la philosophie postmoderne qu'au féminisme actuel, et pour cause : chacune de ces idéologies dérive de la précédente. De façon conscience ou subconsciente, cette approche est dans la tête de beaucoup de gens qui la considèrent comme allant de soi, et qui pour la très grande majorité d'entre eux n'ont jamais lu Marx. Comme disait Jean-François Revel, on mesure le succès d'un auteur à l'influence qu'il exerce sur ceux qui ne l'ont pas lu.


N'omettons pas de préciser, pour éviter les malentendus, que le féminisme moderne ne milite nullement pour des droits égaux entre femmes et hommes — sauf dans l'imagination des féministes — mais bien pour davantage de pouvoir pour les femmes. Seulement, la grande majorité des féministes confondent droit et pouvoir. Un droit ne se rapporte qu'à une liberté d'action et ses conséquences et non à un objet. Le droit de propriété, par exemple, n'est pas une garantie d'acquérir la propriété, mais seulement une garantie de possession si on l'acquiert.


Je ne vais pas ici m'attacher à réfuter le marxisme ou la philosophie postmoderne, ce sont là encore de vastes sujets qui mériteraient leurs propres articles dédiés, je souhaite seulement que chacun ait davantage conscience que l'approche que j'ai cité ne va pas de soi, que c'est une approche bien particulière parmi d'autres, une approche totalement discutable, pour ne pas dire totalement fausse d'après moi, en ce qu'elle réifie des catégories et nie l'existence de l'autonomie de l'individu, lequel serait le jouet de forces sociales qui le dépassent. Enfin, je me contenterais simplement d'indiquer le fait que ni le marxisme, ni la philosophie postmoderne, ni le féminisme ne se voient eux-même comme des constructions sociales arbitraires. Mais on en reparlera un autre jour ! Revenons au film lui-même.


On s'attarde beaucoup, dans La domination masculine sur les violences conjugales, et la méthode est toujours aussi grossière, voir carrément démagogique. D'abord un petit rappel : Les violences conjugales existent dans les deux sens. La majorité des violences comptabilisées sont effectivement celles de l'homme envers la femme. Première donnée élémentaire à savoir, évidemment occultée par le film : lorsque les hommes sont victimes, ils font beaucoup plus rarement la démarche de se plaindre pour la simple raison qu'en matière de violence conjugales, les hommes sont considérés a priori comme suspects. D'ailleurs, les expériences montrent qu'il y a toujours un biais anti-homme dans ces situations.


Ensuite on oublie un petit élément pourtant crucial sur cette question : Le simple fait que... les hommes sont physiquement plus forts que les femmes ! Et en ce sens, oui il y a une "domination masculine", mais il sera difficile de défendre la théorie de la "construction sociale" ici (quoique certains s'y risquent...). Ainsi, il n'est pas très difficile de comprendre que dans les cas où les femmes initient la violence physique, les hommes parviennent bien plus souvent à les maîtriser —
voire à les blesser s'ils se défendent — ou à encaisser les coups, alors que c'est beaucoup moins le cas lorsque c'est l'inverse. Eh oui, ceci ne coïncide peut-être pas avec les théories féministes, mais... les femmes sont physiquement plus fragiles que les hommes, et ça n'a rien de social.


Plus généralement, les violences conjugales sont évidemment condamnables, mais certainement pas de façon unilatérale. Dans un sens comme dans un autre, elles ne sont pas représentatives de l'ensemble du sexe de ceux qui les perpétuent. Dit autrement et de façon somme toute assez triviale, ce n'est pas parce qu'il y a plus de violences d'hommes envers les femmes que l'inverse (en supposant que ce soit avéré or la plupart des données sur le sujet sont biaisées et les tribunaux sont partiaux) que tous les hommes sont comme ça. Supposons que j'utilise le même procédé, en indiquant le fait que la majorité des attaques terroristes sont commises par des arabes et que j'en déduise le caractère dangereux des arabes. Combien pariez-vous que l'immense majorité des féministes trouveraient le procédé "nauséabond" ? Et quelle aurait été la réponse de bon sens ? Qu'il est simplement malhonnête d'opérer une généralisation sur les arabes dans leur ensemble à partir d'une poignée d'entre eux. Que la responsabilité est imputable à un individu et non à une ethnie ou à une culture. En d'autres termes, quand un procédé malhonnête sert leur dessein, les féministes n'hésitent pas à s'en servir, alors même qu'ils dénoncent ces mêmes procédés chez leurs ennemis. Et tout le film est ainsi.


Enfin, même si on établit que les hommes sont plus enclins à l'agressivité que les femmes — ce que je pourrais volontiers admettre, et l'explication serait biologique, pas sociale — ceci n'équivaudrait pas à une domination masculine au sens d'une oppression de l'homme sur la femme. Pour la simple et bonne raison que ce n'est pas du tout la même chose. On pourrait établir que les hommes sont aussi plus enclins à protéger les femmes que les hommes. (« Les femmes et les enfants d'abord ! ») Comme d'habitude, il s'agit là du biais de confirmation consistant à ne regarder qu'un seul aspect de la question. (Ce qui relève du sexisme.) En ce qui concerne la violence, un esprit humaniste, pour qui les droits de l'homme ont un sens, n'a pas à faire de distinction de sexe, de race, de classe... Ce ne sont pas des catégories qui sont agresseurs ou agressées, coupables ou victimes, ce sont des être humains, des individus.


Comme je le mentionnais plus haut, il n'existe pas de refuge pour violence conjugale pour les hommes et leurs enfants. Lorsqu'un homme, Earl Silverman, a voulu en créer un, il se fit rejeter par le milieu — dominé par le féminisme — et finit par se pendre en laissant une note disant qu'il espérait que sa mort attirerait l'attention sur un problème sur lequel il n'était pas parvenu à attirer l'attention en vingt ans d'efforts pour pouvoir faire exister ce refuge. Erin Pizzey, qui fut la créatrice du premier refuge aux violences domestiques pour femme dans les années 70, tenta également plus tard d'en créer un pour hommes mais en fut empêchée par les féministes. Elle fut même menacée, dût vivre sous protection policière et quitter son pays.


Le documentaire se focalise aussi sur la tuerie de l'École polytechnique de Montréal en 1989 où un homme a tué 14 femmes parce qu'elles étaient des femmes. Je croyais que ce film était censé parler d'un phénomène global qui serait la "domination masculine", donc on se demande quel est le but de mettre en avant un fait-divers aussi peu représentatif de la relation entre les hommes et les femmes. Que dirait-on si mon film intitulé "la domination féminine" insistait lourdement sur le cas de Aileen Carol Wuornos, qui tua sept homme pour l'argent et aussi par haine des hommes ? (Croyez le ou non, beaucoup de féministes la défendent et l'admirent. Je n'ai jamais vu l'inverse.) Ou encore sur la féministe hardcore Valerie Solanas qui voulu appliquer sa doctrine en tentant d'assassiner Andy Warhol et dont le SCUM Manifesto est un concentré de haine à l'état pur ? (SCUM signifie : "Society for Cutting Up Men".) Ou encore sur toutes les féministes qui appellent au génocide masculin tel que Mary Daly ou Sally Miller Gearhart ? Ou à toutes celles qui militent pour une société totalitaire féminine tel que Krista Milburn ? Ou sur cette brésilienne de 17 ans qui tua une trentaine d'hommes à São Paulo en 2009 ?


Le passage qui donne la parole aux "masculinistes" est évidemment encore une très grossière manipulation visant à donner l'illusion qu'on a montré le point de vue opposé. S'il y a encore des féministes intellectuellement honnêtes disposés à entendre le point de vue inverse, c'est le film The Red Pill de Cassie Jaye qu'il faut voir, qui s'intéresse sérieusement au mouvement des droits des hommes. The Red Pill est d'autant plus intéressant qu'il a été réalisé par une féministe dont le projet de départ était de montrer qu'il s'agissait d'un mouvement haineux (elle s'attendait presque à être agressée) et qui en faisant ce film a totalement révisée ses positions. Dans une interview très intéressante, elle raconte notamment qu'elle a remarqué que ce mouvement ne niait pas les problèmes féminins, mais soulignait l'existence des problèmes masculins, et qu'à l'inverse, les féministes était dans la dénégation totale des problèmes masculins. Elle s'en est rendu compte d'abord sur elle-même : en tant que féministe, elle remarqua en faisant le film que lorsqu'un de ces hommes lui parlait d'une expérience douloureuse avec une femme, elle avait tendance spontanément à la minimiser, alors qu'elle ne l'aurait pas fait du tout (au contraire) pour une expérience d'une gravité équivalente dans le sens inverse. Bien sûr, les mouvements féministes ont activement milité (et dans plusieurs cas réussi) pour faire en sorte que les projections de The Red Pill n'aient pas lieu, validant ingénument le propos du film. (On a jamais vu une réciproque se produire : décidément, quel bordel cette société patriarcale !) Cassie Jaye a aussi remarqué que lorsqu'elle faisait des films pro-féministes, elle était facilement soutenue et aidée, alors que pour The Red Pill, c'était plutôt le contraire.


Les féministes modernes achèvent de montrer leur totalitarisme lorsque dans La domination masculine elles déplorent la simple existence d'une rébellion contre leur mouvement. Par leurs paroles et leurs actes, les féministes expriment toujours la même idée : il ne doit y avoir aucune contradiction, aucune contestation, toute opposition doit être réduite au silence et tout le monde est sommé de marcher au pas.


Jusqu'à présent, la seule personne à avoir pu expérimenter un tant soi peu la vie de chacun des deux sexes est Norah Vincent, une journaliste féministe lesbienne qui durant un an et demi s'est faite passer pour un homme en se déguisant. Le tout avec l'aide de coach et maquilleurs, l'expérience a vraiment été réalisée avec minutie et a parfaitement fonctionné. Son préjugé de départ était que vivant en tant qu'homme, elle aurait une vie de privilège et de passe-droit, qu'elle allait se sentir puissante et dominante. À la fin de son expérience, elle fit une dépression et fut hospitalisé pendant un mois. Après quoi, elle ne fut jamais aussi heureuse d'être une femme car d'après elle, c'est « plus qu'un privilège ». Les femmes, dit-elle, n'ont pas la moindre idée de ce que c'est qu'être un homme. Chose qu'elle a eu du mal à admettre elle-même. Norah Vincent exagère t-elle ? Je n'en sais rien, je me contente ici de délivrer les résultats de la seule et unique expérience sociale de ce genre.


Au final, le film de Patric Jean représente le mépris des femmes qui vivent réellement dans des sociétés de domination masculine, comme par exemple au Yémen, en Iran, en Égypte, au Cambodge et dans une grande partie du monde, qui luttent pour une liberté que les féministes occidentales prennent pour acquises. Dans ce documentaire sur la "domination masculine" vous n'entendrez pas une seule fois parler d'elles, alors qu'il s'agit des manifestations les plus graves et les plus massives d'inégalité de droits dont des femmes sont victimes. Ce n'est pas la préoccupation des féministes occidentales modernes. Ou pour être plus exact : elles mettent un signe d'égalité entre ces situations et le fait que par exemple il y ait des jouets "genrés", en employant exactement le même vocabulaire pour parler de ces deux types de phénomènes qui n'ont strictement aucun rapport. Et ceci est assez grave.


Comme disait Ayn Rand au sujet du féminisme, on ne combat pas le mal en l'adoptant et en le pratiquant.

gio
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le 26 sept. 2017

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