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Happiness Therapy.
Plus ou moins persona non grata à Hollywood et dans les cercles bien-pensants depuis une poignée de dérapages outrageusement médiatisés, le comédien Mel Gibson est une personnalité complexe et...
Par
le 20 mai 2014
43 j'aime
6
Le Complexe du Castor par VRKL
The Beaver, ou comment remonter la pente en vivant à travers une marionnette.
Le synopsis peut faire sourire, la bande -annonce- annonce la couleur : ceci n'est pas une comédie.
On a véritablement affaire à un drame, évidemment psychologique, mais qui se perd tout de même entre dépression, schizophrénie et un syndrome dont j'ignore le nom, que je décrirais comme syndrome du membre étranger.
Même si le film manque cruellement d'explications, il est intéressant de voir Walter Black (Mel Gibson) développer une personnalité écran pour réussir à sortir de son trou et éviter à sa famille de sombrer totalement avec lui. On a également des regards différents sur sa maladie, celui de sa femme, de son plus jeune fils, et de l'aîné, adolescent, qui vit sûrement le plus mal la dégénérescence de son père, de son modèle.
Le synopsis peut faire sourire, la bande -annonce- annonce la couleur : ceci n'est pas une comédie.
On a véritablement affaire à un drame, évidemment psychologique, mais qui se perd tout de même entre dépression, schizophrénie et un syndrome dont j'ignore le nom, que je décrirais comme syndrome du membre étranger.
Même si le film manque cruellement d'explications, il est intéressant de voir Walter Black (Mel Gibson) développer une personnalité écran pour réussir à sortir de son trou et éviter à sa famille de sombrer totalement avec lui. On a également des regards différents sur sa maladie, celui de sa femme, de son plus jeune fils, et de l'aîné, adolescent, qui vit sûrement le plus mal la dégénérescence de son père, de son modèle.
6
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le 6 oct. 2011
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