Le Narcisse noir par bidulle3
Il y a des films qui sont construit de façon tel, qu'ont ne sait que penser d'elle pendant une bonne partie du déroulement de l'histoire, où l'ont ne sait où aller, elle nous plait, elle nous indiffère, elle nous perd finalement, mais au bout du compte, elle sont merveilleuse, et c'est exactement ce que ma fait vivre "Le narcisse noir".
Michael Powell et Emeric Pressburger avais un style bien à eu, un univers souvent dérangeant, mais rarement un film fut autant prononcé, c'est vraiment un bouleversement cinématographique dans les règles des codes.
Film atypique, tout commence doucement, l'ambiance est gentille, jusqu'au première lueur de la révélation, jusqu'à ce que le message de Powell & Pressburger ne s'affirme ...
C'est incroyable, avoir osé un film comme ça à cette époque, et surtout, l'avoir réussit, car si dans le récit c'est très bon, il reste néanmoins quelques passages assez longuet dans son milieu, en revanche une fois le texte lisible, que l'ont voit où ils veulent en venir, sa deviens passionnant.
Le narcisse noir est un film religieux qui va à l'encontre de Dieu, de son idéologie, de sa croyance et de sa foi. Est ce que tous cela vaut il vraiment le coup d'être vécu ? Pourquoi avoir fait ce choix ? Pourquoi aimé lui plus qu'un autre ?
Toute ses question sont bousculé, et les réponses presque délivré.
Mais c'est vraiment dans la dernière demi-heure que le film prends une toute autre ampleur, si malgré quelques sous-entendu, sa restait contrôlé, c'était le calme avant la tempête, Jésus devenu le Diable, se réincarnant et offre un final rouge de colère, une explosion jalouse réveillé par l'éveil des sens et de la chair, par l'enfermement sexuelle gardé depuis trop longtemps part le Christ, sortie du coma à cause de la virilité.
Puis comment ne pas parler de l'esthétisme de la photographie, c'est juste magnifique en tout point.