Vendredi 13 et Carnage à la sauce whodunit voilà en substance comment Massacre au camp d'été pourrait être résumé.
Le rendu et la musique sont d'une facture téléfilm, certains acteurs jouent comme des patates (en particulier au début du métrage, gâchant tout le tragique de la scène) et la tante fantasque l'est peut être un peu trop, mais l'ambiance du camp avec ses jalousies, ses blagues et son langage ordurier ne manque pas de piment, en plus de proposer un arc narratif plutôt attendrissant.
Possible de ressentir de l'agacement devant le mutisme d'Angela, pseudo-Carrie estivale, donnant lieu à des séquences d'humiliation redondante pour des vengeances parfois traitées à l'arrache (le coup des guêpes...).
Sympa