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Du don de soi
Never let me go est une adaptation d'un roman de l'écrivain japonais, anglais d'adoption, Kazuo Ishiguro dont l'oeuvre la plus connue reste "Les vestiges du jour" adaptée elle aussi mais par James...
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le 3 janv. 2015
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Bouleversant
Bouleversant.
C'est le mot que j'utiliserais si l'on me demandait de qualifier simplement "Never Let Me Go". Bouleversant, parce que le film nous conte la vie de trois jeunes gens au passé hors du commun, au présent tourmenté et au futur déjà écrit, et pourtant incertain. Bouleversant, parce que les acteurs sont bons, très bons, pour ne pas dire excellents en adolescents qui découvrent la vie, leur vie, ce pour quoi ils existent et qui nourrissent l'espoir de voler un peu de temps afin de profiter de la seule chose qui ne leur est pas refusée : l'amour. Bouleversant par la beauté de l'image, des décors, des acteurs, entre réalité, rêve et nostalgie. Bouleversant car le film détourne et retourne contre le spectateur des scènes, des rôles, des situations mille fois vus et éprouvés au cinéma, et frappe ainsi le public avec force.
Je suis allé le voir avec un ami, et quand nous sommes sortis de la salle, nous étions muets, nous ne savions quoi dire, quoi penser, comment réagir. Le film nous avait donc laisser sans voix, et ça, c'est la marque des grandes oeuvres du genre.
C'est le mot que j'utiliserais si l'on me demandait de qualifier simplement "Never Let Me Go". Bouleversant, parce que le film nous conte la vie de trois jeunes gens au passé hors du commun, au présent tourmenté et au futur déjà écrit, et pourtant incertain. Bouleversant, parce que les acteurs sont bons, très bons, pour ne pas dire excellents en adolescents qui découvrent la vie, leur vie, ce pour quoi ils existent et qui nourrissent l'espoir de voler un peu de temps afin de profiter de la seule chose qui ne leur est pas refusée : l'amour. Bouleversant par la beauté de l'image, des décors, des acteurs, entre réalité, rêve et nostalgie. Bouleversant car le film détourne et retourne contre le spectateur des scènes, des rôles, des situations mille fois vus et éprouvés au cinéma, et frappe ainsi le public avec force.
Je suis allé le voir avec un ami, et quand nous sommes sortis de la salle, nous étions muets, nous ne savions quoi dire, quoi penser, comment réagir. Le film nous avait donc laisser sans voix, et ça, c'est la marque des grandes oeuvres du genre.
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le 14 juil. 2011
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