En ces temps troublés pour nos amis suceurs de sang, où l'essence-même de cette admirable et effrayante créature est aspirée jusqu'à la moelle par des Draculas du dimanche et autres Robert Pattinson, il est temps de planter les crocs dans les origines cinématographiques du genre. L'occasion faisant le larron, l'opportunité s'est présentée à moi durant un passage au festival d'Avignon. Une affiche du film sur un poteau, annonçant un groupe de rock italien qui jouera sur ce classique du cinéma... Lire la critique de Nosferatu le vampire