
Je découvre enfin Naruse, et affiche son dernier film, je crois son seul en couleurs sur sa quasi centaine de réalisation. Un mélodrame éminemment sirkien, visuellement sublime, mais qui ne m'émeut pourtant pas autant qu'un Sirk, je pense à cause d'une certaine distance et d'une situation de postulat quelque peu absurde : celle de l'histoire d'amour entre une veuve et de celui qui est responsable de la mort de son mari. C'est toutefois un très beau film, hein !