On a retrouvé la 7e compagnie est une comédie franchouillarde réalisée par Robert Lamoureux, coécrite par Jean-Marie Poiré qui est une suite directe au premier film qui met en scéne les errances de quatre hommes qui vont devenir trois (Le Lieutenant Duvauchel (joué par Erik Colin) étant fait très vite prisonnier) abandonnés lâchement par les trois autres) le Sergent-Chef Chaudard (toujours joué par Pierre Mondy) et les soldats Pithivier (joué par le toujours pietre Jean Lefebvre) et Tassin (joué par Henri Guybet... qui remplace au pied levé Aldo Maccione qui était trop gourmand concernant son cachet d'acteur)... qui vont devenir prisonniers de guerre sous l'uniforme d'officiers pour en avoir les privilèges de captivité... Deuxième film de la trilogie assez inégale, réalisé par Robert Lamoureux ou je retiens les scènes suivantes : Le Colonel Blanchet (Robert Lamoureux) avec la citation suivante « Alors le fil vert sur le bouton vert, le fil rouge sur le bouton rouge »... voulant faire sauter un pont avec un détonateur ou les boutons sont blanc et bleu... la partie d'échec très bruyante entre Le Capitaine Dumont (Pierre Tornade) et un officier allemand joué par Jean Rougerie... pendant l’évasion foireuse de plusieurs officiers parmi lesquels on trouve les excellents Bernard Dhéran, Jacques Monod et Robert Dalban... et les citations de Pithivier « Si je connaissais l'con qu'a fait sauter le pont !!! »... et du soldat allemand joué par Michel Modo : « Groupirt Il faut reste groupirt ! »... Uniquement... le reste est plaisant, mais sans plus.