Après le twist perturbé du second film, le premier opus est sali, brisé.
D'où la tentative d'un Perkins de ramener l'histoire à ce qu'avait raconté le premier opus.
Mais le flou instauré par le second volet l'amène à un méli-mélo meurtrier et sanglant ubuesque qui déçoit plus qu'il ne rassure les fans de Psychose.
La tentative de sauvetage de Perkins coule: c'est un quasi échec.
Quasi car il permet à Psychose de donner dans le slasher, genre de film dont il est l'ancêtre, et en même temps de mettre une grosse rature rouge sur les éléments diégétiques iconoclastes du second opus.