Impairs de famille
Pusher 2 est dédié à Hubert Selby, Jr., (avec lequel Refn a bossé auparavant sur sa première tentative américain, Inside Job), patronage on ne peut plus limpide, et dans la lignée des glauques...
le 31 mai 2016
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Pusher, trilogie danoise sur la mafia locale, est volontiers présentée comme ultra violente, choquante, bref, vous l’aurez compris, comme du cinéma bien bourrin. Quelle farce ! Enfin c’est sûr qu’il est plus facile de vendre un produit en le mettant sous tutelle scorcésienne et tarantinesque, que de le décrire tel qu’il est. A savoir un triple portrait de losers dans la panade, ce qui est tout de même nettement moins bandant. L’aspect documentaire est bien le seul « style » affiché de Nicolas Winding Refn, mais ce choix délibéré de la caméra qui tremble, qui suit ses personnages au plus près, a le grand mérite de nous inclure immédiatement dans le quotidien affligeant de ce microcosme.
Lire la suite ici : http://www.bubzine.fr/2012/06/26/pusher-la-trilogie/
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Créée
le 2 janv. 2019
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C'est été, il fait très chaud, alors quoi de mieux... ( Non je déconne, je voulais tenter de faire une introduction encore moins réussie que la précédente. ) Et bien voilà une fois Pusher terminé, je...
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