Bons sentiments mais "ohoh" des défauts à profusion
Une histoire bancale mais un Dustin Hoffman plus touchant que jamais. Avec Rain Man, le réalisateur Barry Levinson (Good Morning, Vietnam, Sleepers) prenait le pari d’aborder un sujet rare sur les écrans de cinéma: l’autisme. Bien qu’il s’agit ici d’un cas relativement exceptionnel, non représentatif de la population autiste, il a eu le mérite de nous montrer, sous un regard protecteur, tolérant et ému, un homme, certes malade, mais terriblement attachant. Il s’est inspiré d’un certain Kim Peek, autiste savant disposant d’une mémoire eidétique et qui a connu, suite au film, une certaine célébrité. [•••]
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