Au bout du compte, Red Hill est donc un western très plaisant et drôlement efficace. L'histoire a beau être aussi basique que celles que l’on pouvait inventer quand on avait encore l'âge de jouer aux playmobils, on pardonne ses petites incohérences, et le film n’en demeure pas moins maîtrisé de bout en bout et ponctué de quelques passages de toute beauté. Une œuvre réellement enthousiasmante dans le paysage cinématographique actuel. Et, comme si cela ne suffisait pas, Patrick Hughes trouve le moyen de nous quitter sur un dernier plan d’une beauté sauvage tout à fait bienvenue. Une dernière image qui ne fait que nous donner encore plus envie de dire du bien de ce petit film si sympathique ! lire la critique complète ici