Quand la Toho le pousse à signer une suite au succès de Yojimbo, Akira Kurosawa se réapproprie l'adaptation d'un roman qui ne lui était pas destinée pour y faire déambuler son héros moderne, toujours campé par l'immense Toshiro Mifune. Alors Sanjuro n'est sans doute pas aussi maîtrisé que son modèle, la faute à un récit un poil moins retors, mais le film reste d'une maîtrise remarquable, Kurosawa-plus-grand-cinéaste-de-tous-les-temps-du-monde oblige, et avec beaucoup d'humour en prime !
Par ici la critique, les samouraïs errants : https://supermarieblog.com/2017/02/11/sanjuro/