Session 9
5.8
Session 9

Film de Brad Anderson (2001)

Je suis bon client, mais là ça n'a pas marché du tout. 90 min perdues à écouter des ouvriers du BTP mal interprétés bavasser dans une mise en scène aussi excitante que les Feux de l'amour. Rien à sauver.
FullMetalJackass
1

Créée

le 20 juil. 2013

Critique lue 533 fois

5 j'aime

Critique lue 533 fois

5

D'autres avis sur Session 9

Session 9
FullMetalJackass
1

Session zéro

Je suis bon client, mais là ça n'a pas marché du tout. 90 min perdues à écouter des ouvriers du BTP mal interprétés bavasser dans une mise en scène aussi excitante que les Feux de l'amour. Rien à...

le 20 juil. 2013

5 j'aime

Session 9
Amrit
5

Un dernier mot diabolique

Un faux film d'horreur qui est un vrai thriller psychologique. La grande force de cette oeuvre, c'est de frapper là où on ne l'attend pas, et de faire ça avec subtilité. Hélas, Brad Anderson mélange...

le 13 sept. 2011

4 j'aime

3

Session 9
Terreur-Rampante
8

Une brillante démonstration de terreur

Quelques années avant The Machinist, Brad Anderson frappait déjà très fort. Vraiment énorme, je ne sais pas comment j’étais passé à côté mais c'est l'un des meilleurs films d’horreur que j’ai vus...

le 29 janv. 2022

3 j'aime

1

Du même critique

Diablo II: Lord of Destruction
FullMetalJackass
7

Critique de Diablo II: Lord of Destruction par FullMetalJackass

clic clic clic clic clic clic clic clic clic clic clic clic clic clic trésor clic clic clic clic clic clic clic clic clic clic clic clic clic clic trésor clic clic clic clic clic clic clic clic clic...

le 1 juil. 2010

24 j'aime

3

Suicide, mode d'emploi
FullMetalJackass
6

Trop théorique, pas assez pratique

Déception : ca jacte beaucoup et y'a pas assez de pratique. Ni de dessins ou photos. Ca manque de vécu : franchement, j'aurais espéré trouver une méthodologie du nœud coulant, l'angle buccal optimal...

le 6 janv. 2011

20 j'aime

5

De sang-froid
FullMetalJackass
9

Truman Capote sait écrire

Ou comment un gay drogué urbain branchouille mytho et friqué arrive à te faire baver pendant 300 pages sur la dérive de deux white trash losers dans le sud des US à la fin des années 50. Parce que tu...

le 10 avr. 2011

15 j'aime