Two people should be able to have sex like they play tennis.

J’ai lancé, lors d’un moment d’égarement, Friends With Benefits. J’avais envie de regarder un film léger, sympathique, pas du tout prenant, le genre de films que l’on oublie dès la seconde où le générique de fin défile. C’est un peu ce genre de films, quand même.

J’ai passé un bon moment devant. J’ai aimé Justin Timberlake (LOVE LOVE LOVE), j’ai aimé Mila Kunis (je ne sais lequel je préfère entre les deux), ils sont purement géniaux. Big Up pour les apparitions express d’Emma Stone (CANON même quand elle aime John Mayer), de Jason Segel (dans un film NIAIS au possible) et celles plus longues de Nolan Gould (cet acteur incarne toujours des personnages adorables) et de Bryan Greenberg (j’ai bavé) (son personnage est un connard mais je crois que j’aurais carrément pu faire ça).

OK, le scénario est un peu faible, mais toutes les comédies romantiques le sont, elles ne se vendent pas s’il n’y a pas de happy end. Et puis on regarde ce genre de films POUR le happy end, pas pour voir les couples se quitter et se détester. Là, le gros plus, ce sont les répliques, les dialogues un peu punchy, les références à Harry Potter (dear mother of God), la manière dont ils se moquent des autres “rom com”, les acteurs, la musique, mais surtout les répliques (dont le titre de cet article).

Le côté geek du personnage de Justin Timberlake me plaît, j’aime ce genre de personnes. “What’s wrong with the couch? It’s less emotional.” “You can’t deny that going to Hogwarts would be a life changing.” Le côté complètement damaged du personnage de Mila Kunis me plaît, je suis ce genre de personnes.