Il est 3h00 pile alors je vais la faire court. Sin City, premier du nom, m'avait enchanté, émerveillé, fait voir le cinéma sous un autre jour.
Ce deuxième volet, si beau soit-il et si plaisant dans l'esprit nostalgique qu'il m'offre n'arrive pas à passer au dessus de ses faiblesses scénaristiques. On nous sort trois histoires piochées à la va-vite, on les remplit avec de jolies scènes d'actions et on balance une End Scene assez cool pour solidifier le truc. Problème, ça ne marche pas. Le premier épisode était fort car les histoires étaient relativement solides. Ce n'est plus le cas ici et c'est mon gros regret. Au moins, c'est un petit plaisir de revoir un peu de ce cinéma si spécial dont je n'ai jamais fais l'expérience similaire autre part.
Bon, un gros pouce en l'air pour Joseph Gordon Levitt, son personnage est excellent et même si l'histoire est, en soi, totalement dépourvue d'intérêt, sans spoiler, ce qu'il va faire est franchement badass, y'a pas à dire.