"T'es sur que Luc Besson n'y est pour rien?"
Ce Solomon Kane a eu l'honneur d'avoir une sortie en salle mais on se demande bien pourquoi.... film divertissant s'il en est, le métrage de Michael J. Basset (qui s'est fait remarquer avec le juvénil Wilderness) a tout du DTV d'antan, effets spéciaux limités tout comme les moyens, seconds couteaux qui cachetonnent, histoire écrite au rouleau....
Mais bon, on s'y fait très vite et cette petite odyssée d'un bad guy devenu good guy grâce à Dieu affrontant le méchant sorcier se laisse déguster comme un Dolph Lungrend de la belle époque.
Pas bien recherché donc mais je ne pense pas que c'était le but de ce Solomon Kane qui pourrait bien être appelé à devenir une franchise B à encéphalogramme plat.