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Critique de Somebody Up There Likes Me par Cthulhu
Typiquement le genre de petit film limite mumblecore pour qui j'éprouve une certaine tendresse quand bien même le niveau est assez modéré.
Par
le 20 févr. 2014
Beati pauperes spiritu quoniam ipsorum est regnum caelorum
Max, le personnage principal, est l'anti-héros idéal. Chiant. C'est un meuble, un ver de terre qui aurait prit forme humaine mais dont la façon de passer dans la vie, semble être une métaphore bien plus intéressante qu'il n'y parait, car remplis de sens, d'images, et de messages.
Max, un garçon compliqué, maladroit, nonchalant, simplet, et totalement déconnecté de la réalité. Il est "higher". Et plus j'y pense, et plus ce Max prend du sens. Plus ces petites choses me paraissent finalement importantes, car au delà de sa naïveté, ce ver, nous dépeint la vie avec fraicheur et un point de vue inédit. Il glisse sur l'amour autant que sur les blessures, et de cette façon, rien ne l'atteint. Il ne ressent pas, au mieux, il correspond. Et il devient en cela précieux. Attachant mais énervant, Il souffle le chaud comme le froid, sans que lui n'en ai, de toute façon, quoi que ce soit à faire...
"Beati pauperes spiritu quoniam ipsorum est regnum caelorum"
Matthieu 5
Max, un garçon compliqué, maladroit, nonchalant, simplet, et totalement déconnecté de la réalité. Il est "higher". Et plus j'y pense, et plus ce Max prend du sens. Plus ces petites choses me paraissent finalement importantes, car au delà de sa naïveté, ce ver, nous dépeint la vie avec fraicheur et un point de vue inédit. Il glisse sur l'amour autant que sur les blessures, et de cette façon, rien ne l'atteint. Il ne ressent pas, au mieux, il correspond. Et il devient en cela précieux. Attachant mais énervant, Il souffle le chaud comme le froid, sans que lui n'en ai, de toute façon, quoi que ce soit à faire...
"Beati pauperes spiritu quoniam ipsorum est regnum caelorum"
Matthieu 5
8
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le 8 oct. 2013
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