Il était une fois trois royaumes, haut en couleurs et tous plus différents les uns que les autres. Dans chacun des royaumes vivait un roi.
Dans le premier, ce Roi et sa Reine avait grande peine à avoir un héritier, à tel point que la reine qui en devenait folle de chagrin, fît voler tasses et assiettes à la vu de la moindre femme enceinte, une injustice aux yeux de la reines. Qu'a cela ne tienne, le Roi qui possédait un amour pour sa reine aussi étendu que ses terres, reçu dans son palais un homme sombre et élancé qui jurait connaître la solution au problème de ses souverains. C'est alors que dans une pièce d'un blanc immaculé, la sombre reine au lèvre de sang mangea le cœur d'un monstre marin obtenue par le sacrifice de son ancien Roi. Qu'importe, tant qu'elle à son enfant, mais à quel prix ?
Dans le second royaume vivait un Roi au mœurs légères, qui n'avait cure de l’enterrement d'un roi dans le royaume voisin, tant que les rombières à la poitrine généreuse le distrait le temps du trajet. Le lendemain d'une énième fêtes, il ne trouva aucune fille de joie en état de le satisfaire. Encore embrumé et enveloppé des effluves et senteurs de la veille, le Roi se mit en quête d'une jeune damoiselle, peu farouche et bien matinal. Le chant d'une sirène au loin, venait-il de trouver celle qu'il cherchait mais qui ce cachait pourtant de lui ?
Dans le troisième et enfin dernier royaume, habitait un roi, une reine ainsi que leur jeune fille qui fut bientôt en âge de trouver un époux, vit son père mettre en place un drôle de tournoi, afin que le plus courageux et le plus érudit remporte la main de sa fille bien aimé. Une peau étrange est alors tendu, vestige d'une créature certes étrange mais choyé et nourri avec attention. Bien que le roi aimait sa fille par dessus les montagnes, cela suffira-t-il à la rendre heureuse ?
Trois royaumes et tout un tas de destins qui ne finiront par tous ce croiser véritablement qu'à la toute fin. Cette peinture du baroque nous offres des histoires riches qui connaisse des péripéties des fois bien à l'opposé des compte merveilleux d'en temps...