Je peux donc enfin me reposer..

Dit-elle. Le soulagement que sa famille s'en soit tous sortis indemne.

Une famille, des vacances, des rires, des souvenirs. Voilà ce qui devaient rester de ces vacances.
Malheureusement, la nature en voulu autrement.

Le film s'ouvre avec une intro textuelle relatant les faits passés en Thaïlande, ce fameux 26 décembre 2004. Une intro , qui décrit le film comme inspiré d'une histoire vrai : celle d'une famille , avec qui pendant tout
le long du film nous allons partager la douleur , la souffrance, la peur, les pleures , mais aussi les joies et le soulagement . Tout au long du film, nous partageons ce moment douloureux vécu par cette famille, mais
aussi par toutes ces familles présentes à ce tragique évènement.

Le film commence et la première image qui vient à l'écran est l'océan, calme, bleu, reposant, à l'air inoffensif, mais qui va pourtant faire beaucoup de dégâts. A la fin du film nous voyons d'ailleurs les dégâts causés par cet océan qui semblait pourtant si paisible. Cet océan à plutôt causés "une vague de malheurs" pourrait on dire.
Plusieurs thèmes sont traités dans ce film, notamment celui de l'humanité. Il montre la solidarité qu'à pu avoir envers les victimes le peuple de Thaïlande, mais aussi les victimes envers les autres victimes. L'exemple du téléphone est à prendre dans ce cas , quand un homme ayant perdu sa famille prête son téléphone qui n'a pourtant plus beaucoup de batterie à un autre ayant perdu les siens. Celui ci d'ailleurs avait déjà tenté d'empreinter un téléphone à un homme, mais qui n'a pas dénié partager. D'ailleurs, lui n'avait pas du tout était touché par l'évènement. Il y a donc une forme de solidarité entre les victimes, la compréhension, l'empathie et le partage, puisqu'ils ont vécu les mêmes choses.

"Ferme les yeux , et pense à quelque chose d'agréable", une phrase qui est répété 3 fois dans le film, au fil des évènements. En premier lieu, la mère qui rassure son enfant, ne trouvant pas le sommeil.Une phrase rassurante, protectrice. Ensuite, le grand frère qui veille sur son petit frère, qui montre que le garçon a pris en maturité, quand celui-ci se plaignait de choses futiles. Et enfin, au moment de l'opération, cette phrase est dite par la chirurgienne, mais qui sonne comme la mort venant vous murmurer à l'oreille.

A travers cette famille qui a survécu, nous voyons toutes ces victimes qui n'ont pas eu cette chance. Les cadavres, les victimes ayant perdu leur famille et se retrouvant seul dans leur peine.

En conclusion, un film poignant, émouvant, qui nous partage entre tristesse et soulagement, qui est une mémoire pour toutes ces familles déchirés, brisés, ces victimes vivantes ou mortes. Qu'ils reposent en paix.