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Heroin.
Venant tout juste de lire le roman original d'Irvine Welsh, je me dis que le moment est fort propice pour me replonger dans le film culte de Danny Boyle, qui avait fait sensation lors de sa sortie en...
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le 9 sept. 2013
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Trainspotting par TheGreatGatsby
Plus de 15 ans que je n’avais pas revu le second et sans doute dernier bon film de Danny Boyle. Au même titre que Pulp Fiction, Trainspotting a marqué les années 90 : son cynisme, sa noirceur je m’en foutiste, son humour toujours sur le fil et son impeccable BO, qui passe en revue punk, house, dance et brit pop comme autant d’évolutions des personnages et de la société britannique. Le film n’a pas trop vieilli, il gagne même en subversion et en politiquement incorrect dans une époque comme la nôtre. Boyle avait tout compris en adaptant le bouquin de Welsh (qui joue un petit rôle dans le film) : brièveté (1h30 au compteur), scènes très découpées, voix-off et musique omniprésente ; Trainspotting tient parfois presque plus du clip (la scène de l’OD avec Perfect Day, celle du sevrage, l’utilisation du Nightclubbing d’Iggy Pop…) que du film, sans que cela soit un défaut ou un reproche.
15 ans après, impossible d’oublier Renton, Begbie, Spud, Sick Boy et Tommy.
15 ans après, impossible d’oublier Renton, Begbie, Spud, Sick Boy et Tommy.
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le 26 sept. 2012
Modifiée
le 26 sept. 2012
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