Quatrième film de Jafar Panahi depuis son interdiction de tourner, notamment après le brillant Taxi Téhéran, Trois visages est moins inspiré que ce précédent opus mais n'en reste pas moins impressionnant par la façon dont le cinéaste tourne coûte que coûte, mettant en scène son interdiction de mettre en scène. Le film part très fort dans cette voie, puis le propos subit des digressions inégales, le portrait de trois générations d'actrices n'étant finalement pas au premier plan.
Par ici la bafouille : https://supermarieblog.com/2018/06/11/trois-visages/