Avec Tulip Fever, Justin Chadwick convoque un casting extrêmement prestigieux. Si certains comédiens parviennent à tirer leur épingle du jeu, la plupart ne sont malheureusement pas suffisamment mis en avant. Cela est en partie dû à un montage hasardeux. Alors que le contexte historique promettait une adaptation passionnante, le long-métrage s’impose finalement comme une grosse déception.
Sur le papier, cette intrigue romantique emplie de suspense et prenant place durant la tulipomanie avait tout pour réjouir les amateurs de films en costumes d’époque. Adaptation du roman Le peintre des vanités de Deborah Moggach, le long-métrage bénéficie de la présence d’un réalisateur habitué du genre. Justin Chadwick a en effet signé Deux sœurs pour un roi ainsi que plusieurs épisodes de la mini-série britannique Bleak House.
Retrouvez l'intégralité de la critique sur CinéSérie.com