Amsterdam, 1634. Toute la ville s'enflamme pour les bulbes de tulipes. Orpheline, Sophia devient l'épouse de Cornelis Sandvoort, un riche marchand qui n'attend qu'une chose : avoir un héritier. Cornelis loue, un jour, les services d'un artiste, Jan van Loos, pour peindre la jeune mariée. Le jeune homme s'éprend de Sophia.
J'aime beaucoup l'ambiance Amsterdam au 17e dans les films et les romans. La Jeune fille à la perle, Le Miniaturiste, et maintenant ce Tulip fever.
Tout est très beau, racé. Le casting est haut de gamme, avec des grands noms dans de petits rôles (Judi Dench, Zach Galifianakis, Kevin McKidd, Tom Hollander, Jack O'Connell...). Alicia Vikander et Holiday Grainger rivalisent de beauté et de grâce. Et surtout, Christoph Waltz se balade. Il est comme toujours parfait et terriblement attachant dans le rôle de cet homme naïf qui n'aspire qu'au bonheur, chantonnant au fil du film. Alors que le couple d'amoureux fait pâle figure (le couple Holiday Grainger-Jack O'Connell est nettement plus intéressant que LE couple Vikander-Dane DeHann), Waltz crève l'écran et vole toutes les scènes à ses partenaires. A voir uniquement pour lui.