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Blind date
J'aime bien Cornillac à la base, mais en plus je trouve qu'il vieillit vachement bien. C'est parce qu'il est dans le film que je me suis laissé tenter. Et puis en plus, le pitch donne envie un peu...
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Un peu, beaucoup, aveuglément ! par Patrick Fillinger
Pour son premier film, je trouve que Clovis a un peu trop utilisé les codes plan-plan de la comédie romantique de base, jusqu'à glisser parfois vers la caricature.
Et même si l'histoire est originale, et quelques pointes d'humour bien placés, sa tournure et ses acteurs ne sont pas parvenus à hisser mon engouement au point que j'aurais espéré.
Même si la situation des deux personnages paraît particulière, j'y ai quand même trouvé une lecture plus commune qui aurait pour objet les sites de rencontres en ligne dont le principe s'apparente à découvrir des personnes sans avoir la possibilité d'user de tous nos sens. Comme dans le film, le fantasme, l'imaginaire et l'idéal sont alors des pensées et des états dont on ne peut s'affranchir pour compléter les caractéristiques manquantes.
Et Mélanie Bernier <3
6
Écrit par
Créée
le 2 juin 2015
Critique lue 207 fois
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Une cloison pour deux.
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