Heureusement qu'il a a Tommy Lee Jones.
Parce que sinon, ça donne un sentiment de bâclé. Le grand spectacle est là, avec son budget, mais quelques invraisemblances qui ne collent pas du tout avec la logique (invraisemblable) du film font mal au cœur. Est-ce un effet de son vieillissement, mais le triptyque enfant/père divorcé/chien est ici excessivement poussif et mal foutu. Plus que dans Independance Day, j'veux dire. Pour le chien. Tu vois le tableau. Bref, une grosse machine avec des rouages gros comme mes sabots, mais dont on aurait en plus démonté le capot pour bien montrer comment ça marche. Bonjour la magie.
Le volcan?
Un point.
Tommy Lee Jones, le mec que tu peux pas t'empêcher de trouver sympathique?
Trois points. Quand même.
Quatre, quoi.