Malgré la présence de James Mangold au poste de metteur en scène, on ne peut pas dire que cette seconde aventure en solo du mutant griffu le plus badass à l'ouest du Mississippi donnait envie, le spectateur ayant encore la rétine douloureuse après un premier épisode catastrophique à peine digne d'un DTV de Steven Seagal. Ajoutez à cela un montage PG-13 totalement expurgé de la moindre goutte de sang et la déconvenue s'annonçait totale. C'est donc vêtu de mon plus beau pyjama Serval que je... Lire la critique de Wolverine : Le Combat de l'immortel