Ca aurait pu être un sans faute.
Après la "démo technique" du concept qu'a été Assassin's Creed avec Altaïr, l'arrivée d'Ezio a été une sacrée claque vidéoludique.
On peut dire que ce dernier opus avait toutes les bases pour être un monument.
Des nouveautés appréciables (Guilde des assassins, Reconstruction de Rome, Tours Borgia). Un contexte historique toujours aussi passionnant. Une modélisation de Rome qui est un vrai régal pour les yeux. Bref tout ce qui a fait le charme d'Assassin's Creed 2 en mieux.
Malheureusement ils sont arrivés à gâcher tout ça par un final (2 derniers chapitres) d'une nullité déconcertante. Ce Brotherhood très bon dans son ensemble, laissera un goût amer de gâchis. On peut vraiment en vouloir à Ubisoft sur ce coup là.
En espérant que "Revelations" clôture la trilogie Ezio sur une note plus digne pour une telle saga.