Ubisoft en mode "ça rapporte, je vais pas en faire trop"
Cet opus est loin d'être mauvais, faut le reconnaitre. Mais après un opus tel que Brotherhood et ses nombreux nouveaux mécanismes, celui-ci fait demi-teinte. En effet, autant le parachute, les bombes et les tyroliennes sont vraiment convaincantes, autant les phases de tower défense pour défendre les repaires d'assassins et de vue en fps à travers Desmon sont tellement nazes qu'on en est dégouté. De plus l'augmentation de la vigilance des templiers à chaque rénovation est tellement chiante, qu'elle nous pousse à ne pas se farcir l'amélioration de la ville.
D'un point de vue scénaristique, difficile d'imaginer de si peu de révélations hormis celles sur Altaïr, héros d'Assassin's Creed l'on notera également le gel depuis Assassin's Creed II du moteur de jeu qui commence à faiblir sérieusement.
On regrettera la sortie trop fréquente des opus de la série, et le mode cash machine engendré par Ubisoft. Dommage d'être resté en demi-teinte sur cette période de l'histoire engendrée par son héros qui en valait vraiment la peine.