Coucou Tu veux voir ma Grande ville ?
Après une note seulement de 8 points et une blague des plus foireuses en titre pour Bioshock Infinite que puis-je lui infliger d'autres pour m'avoir fait virevolté de tous les côtés de la plus belle des manières ?
Je me justifie d'un 8 car le jeu à hériter quand même d'un des seuls défauts de ses prédécesseurs, le rythme n'est pas assez maîtrisé, certains passages d'actions aurait pu être enlever. Préférant largement le côté exploration que le côte bourrin du soft, certains passages de shoot m'on refroidi par la longueur et la répétitivité.
Parallèlement à ma remarque, le dernier né du studio Irrational Games mérite toutes ses critiques dithyrambiques et plus qu'élogieuse, le jeu est parfait dans sa direction artistique, dans sa narration, dans son ambiance ou dans son gameplay.
Malgré ce problème de rythme cité plus haut, Bioshock Infinite reste une perle de cette génération et de cette année. Il se permet de rafraîchir le genre FPS surexploitée en proposant une esthétique des plus abouti et la plus belle map de tous les temps : Columbia.
(*les Effets de lumières* Wahouu Effect)
Il se permet également d'apprendre le Story-Telling à pas mal de production, grâce à la narration chapeauté par Ken Levine et son équipe.
Il persévère en créant la PNJ la plus charmante, attachante et utile à la fois : Elizabeth.
Conclusion, jouer à Bioshock Infinite : pour les yeux d'Elizabeth, pour Columbia, pour la bande son, pour la narration, pour la VO, pour le Voyage artistique et pour votre console (ou carte graphique).