J'en rêvais, Rockstar l'a fait. De grands espaces, à perte de vue. Un personnage charismatique, voir christique (John fuckin' Marston). Une histoire autour de la dignité d'un homme, d'une possible rédemption... Des saloons, des réglements de compte, des charlatans, une guérilla, des bandilleros, des chercheurs d'or...Un western crépusculaire aussi.
Et surtout deux putains de scènes qui n'ont pas à rougir d'une comparaison avec le cinoche: l'arrivée de Marston qui découvre le Mexique, et le retour auprès de sa famille de notre cowboy solitaire, accompagnés à chaque fois d'une musique magnifique.