Shadow Hearts
7.7
Shadow Hearts

Jeu de Sacnoth et Midway Games (2001PlayStation 2)

Alors autant le dire tout de suite trouver une version physique a pendant longtemps été ma quête, mon inaccessible étoile... que je n'ai pas pu atteindre d'ailleurs mais cela est un autre histoire, je ne désespère pas et ce peu m´importe le temps.
J'ai donc fait ce jeu sur émulateur (hoo le vilain pas beau) pour éviter de devoir claquer 70 pepettes pour un truc de plus de dix ans (faut pas déconner quand même) et oui j'avoue je n'ai pas totalement joué à la réglo ayant user des savestate (le doublement vilain pas beau) et j'ai pris des soluces (enfin surtout pour me diriger vers la bonne fin en premier lieu, au final elles m'ont assez peu servies).

ce paragraphe pourrait vous paraître inintéressant mais bon vous voila prévenus, si vous désirez le passer et lire la critique à proprement parler du jeux mettez vos doigts sur votre front et téléportez vous au paragraphe suivant.
Jadis il était une époque où mis à part les grandes licences du RPG, le il n'y avait pas grand chose à se mettre sous la dent pour nous pauvres francophones que nous sommes, quelques titres de temps à autres mais dont la qualité n'était pas toujours au rendez-vous, puis à une époque où je rageais contre un blond au rire insupportable dans une licence fort connue à base de cristaux et tout et tout et m'extasiais devant une donzelle aux yeux vairons lorsque, dans une situation que les plus jeunes ne connaissent peu être pas à savoir être une bande de potes rassemblés dans une petites pièce mal éclairée bourrée de consoles à plusieurs vestiges d'une époque révolue, un pote sauvage apparu avec son nouveau jeu, il me fit forte impression, puis je l'ai oublié, puis je m'en suis souvenu, après j'ai maudit les Dieux (sauf Haruhi) qu'il soit côté pour enfin me rappeler que les émulateurs ça existe pour enfin pouvoir commencer ce jeu tant attendu (avec quelques foutues chutes de FPS mais cela est un moindre mal).

Avant toutes choses à propos de SH, le jeu est fortement inspiré de Lovecraft que ce soit dans l'ambiance, le bestiaires ou même certains noms. Je tiens à signaler que à certains moments ce texte contiendra des spoilers, rien de bien méchant mais une mog prévenu en vaut deux (quand j'y penserai ils seront signalés)

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Grosso merdo l'histoire se déroule dans un début de vingtième siècle ressemblant assez fort au notre et reprenant le même climat de tensions entre grandes puissances, ça c'est pour le théâtre global des opérations le début du jeux quand à lui nous propulse dans le vif du sujet directement dans un train pleins de japonnais "escortant" une fille quand un anglais massacre tout le monde pour récupérer cette jeune fille en ayant eu au préalable l'aperçu de coupures de journaux parlant d'un prêtre massacré en Europe et de la disparation de sa fille, c'est là qu'intervient notre héros on ne sait pas trop comment pour sauver cette jeune fille pour on ne sait quelle raison de cet anglais dont on ne sait pas ce qu'il foutait là, après une poursuite et l'affrontement de cet anglais nous permettant de nous familiariser avec les commandes (on peut rater son coup sur ce combat car on ne peut que le perdre, combat annonçant déjà l'homme à abattre) notre héros sans nom grâce à un événement particulier parviendra à défoncer le crâne de l'anglais et sauter du train avec le jeune fille, l'anglais ayant pendant ce temps là régénéré son visage défoncé (lui c'est vraiment le gars à abattre), après l'on aura les phases de présentations classiques qui expliquerons un peu le pourquoi du comment en gardant des zones d'ombres et même là on ne sait pas encore très bien ce que l'on va foutre et que l'on se rend compte que notre héros n'est peut-être pas psychologiquement très sain. Ensuit l'histoire ne ferra voyager en chine pour dans le seconde partie avec un interlude assez classique du genre [spoiler] on a éviter le pire mais ho mon dieu je suis très triste le héros est mort (je dits pas que ce schéma se retrouve tout le temps mais j'ai déjà pu l'observer deux trois fois)[spoiler] qui nous mènera à découvrir qui est réellement cet anglais, qu'elles sont ses motivations, les enjeux de cette aventures et découvrir un peu plus des personnages que nous incarnons durant ce jeu via des quêtes annexes qui du coups prennent un autre sens que simplement "YES j'ai l'arme/amélioration plus mieux même si elle ne me sert à rien car j'ai du bastonner un boss plus fort que le boss de fin" de plus certaines quêtes annexes de demandent pas de latter les fesses d'un boss. pour au final finir en apothéose et découvrirent que l'avant dernier combat contre [spoiler] notre anglais n'est pas un combat méchant contre gentils mais plutôt un combat entre deux vision du monde et des humains le peuplant pour finir contre rien de moins qu'un Dieu, ou du moins un truc qui à l'échelle humaine équivaut. La fin m'ayant particulièrement plu au sens que ce n'est pas un happy end mais sans être un bad end non plus , plus un truc du style bon on va en chier des barre mais osef nous ne sommes pas seuls, ils sauvent le monde en effet mais notre anglais savait déjà ce qui allait se passer, la première guerre mondiale pointant le bout de son nez à la fin du jeu et nous joueurs savons que par après ce ne sera pas beaucoup plus réjouissant, le générique finissant sur Alice et Yuri se endormi dans un train l'un contre l'autre offrant un contraste entre les avènement futur et leur futur bonheur (d'un côté je vois mal comment un mec ayant absorbé l'homme lui permettant de commettre un déicide et une fille invoquant la pyramide du capitalisme américain franc-maçon en mode Gojira-je-lance-des-lasers-de-mon-oeil avoir du mal mais bon)[spoiler].
En somme une histoire assez simple qui se dévoile au fur et à mesure que l'on joue, sobre mais efficace qui nous porte tout le long.

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Un des indéniable point fort de cette œuvre est sans doute, outre le système de jeux où je reviendrais pas après, son ambiance. Le jeux possède une atmosphère oppressante et le lieu que l'on rencontre sont tant par le design que la musique empreint d'une ambiance tantôt mélancolique, tantôt oppressante ou triste, les lieux joyeux sont assez rare ou ne le sont qu'après avoir purifié le mal les habitants. [spoiler]Comme aperçu nous avons un hôpital psychiatrique tellement lugubre que l'on s'attend presque à découvrir une salle contenant un puits et un pendule et contenant des "chasseurs de sorcières" étant devenu ce qu'ils chassent, un village au mains de monstres cannibales qui lorsque les masques tombent se retrouve jonché de corps en pièces détachées, un village où le maire se prend pour un Charles Dexter Ward obligeant le maître des lieux à se réveiller, un orphelinat où des enfants servent de matières premières à un Herbert West en puissance [spoiler]. Rien de très folichon donc mais grâce à un humour omniprésent mais pourtant jamais intrusif la pilule passe bien, après l'humour sans être d'un bêtise affligeante est léger et frivole et s'amusant à respecter certains vieux codes (une scène sentimentale va se faire rompre par l'intrusion d'une tiers personne ayant trouvé un objet clé par exemple) mais gardant un minimum de sérieux quand il le faut.
Le bestiaire n'est pas en reste, lui aussi très glauque et dérangeant, entre les bonnes femme à poil marchant sur les mains et vous frappant avec un bâton ayant un cerveau embroché dessus et en le tenant par les pieds, les monstres qui vous lattent à coups de zgeg à peine dissimulé, d'ennemi ayant les pieds au plafond etc... Pour ne rien arranger la musique des combats renforce cet aspect mauvais rêve.
Les graphismes sont... faut l'avouer pas ce qui se faisait de mieux à l'époque mais personnellement la beauté du graphisme a toujours été la dernière choses dont je me soucie même si il faut que sur le coups dans les cinématiques j'ai trouvé que le héros avait une tronche particulièrement peu engageante, par contre les artworks servant de cutscene m'ont bien plu
La musique accompagnant le tout avec somptuosité, elle colle véritablement aux décors et donnera d'emblée les indications sur ce à quoi il faut s'attendre en pénétrant dans un nouveaux lieux
Les amateurs de Lovecraft ne seront pas perdus car beaucoup de références sont présentes et ce même dans les noms, Le Texte de R'lyeh , Tindalos, ...

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Les personnages sont intéressants et ont une histoire qui bien que pas super étoffées ou longues pour certains a le mérite d'exister, chacun à droit à son moment privilégié lors des quêtes annexes nous permettant d'en apprendre plus sur lui et la fin du jeu nous dit qui devient quoi même si pour certains cela nous semble logique, au fil de l'aventure l'on arrive à s'attacher à chacun d'eux, en voici une courte description (cette partie sera caution à spoiler donc voila):

Yuri, le héros, jeune homme ayant perdu son père puis après ayant vu sa mère massacrée par des monstres entendant des voix lui dictant que faire au point qu'il se demande lui-même si il ne devient pas fous, le massacre de sa mère ayant réveillé ses pouvoirs de transformation, en effet au fil du jeux nous allons combattre des monstres et récolter leurs âmes, au bout d'un certains quota nous pourrons nous battre contre un monstre dans le cimetière et une fois vaincu capturer son âme pour pouvoir revêtir sa forme, Yuri est la force de frappe du groupe pouvant changer ses attributs élémentaires pour pouvoir s'adapter à la situation en se transformant, il se bat à coups de poing. personnage torturé qui connaîtra des hauts et des bas mais qui grâce à ses compagnons saura se transcender pour aller de l'avant.

Alice, jeune fille dont le père a été éliminé par lord Bacon et ensuite crapahutée par des japonnais jusque dans le train du début de l'aventure où elle fera connaissance de Yuri, au début elle aura le rôle de la biatch chiante à sauver pour ensuite prendre de l'ampleur et montrer qu'elle aussi elle en as dans la culotte, sans elle notre yuri aurait vraiment passé de vraiment sales moments. Alors elle c'est la healeuse fragile du groupe, l'avoir dans le groupe induit que se soigner pour que les autres délivrent des tatanes sera plus facile mais induira aussi de ne pas perdre de temps et de faire gaffe à ses compteurs (surtout à haut niveau car à ce moment elle dispose d'un des sorts les plus puissant du jeu... contre l'ennemi c'est lOl mais quand ça fait retour de flamme...), non contente de healer elle peut aussi lancer quelques sort offensif (deux pour être exacte) mais après les attaques physiques c'est vraiment quand on veut économiser les MP parce que tabasser ses ennemis à coups de bouquins c'est pas sympa... pour le bouquin

Zhuzhen, un vieux chinois, et encore le terme est faible, que l'on rencontre au détour d'un village et d'un bateau avant qu'il ne rejoigne le groupe de façon durable, personnage sachant ce qui c'est passé de par le passé et pourquoi le père de Yuri n'est pas revenu, c'est un perso assez constant dans l'histoire qui guidera quelque peu le groupe au vu de son expérience, il entretiendra avec Yuri une relation entre chien et chat source d'humour, il formera même dans le début de la seconde partie une équipe d'exorciste en Europe avec Alice, c'est aussi un mago mais plus orienté offensive même si il dispose d'un sort de soin et malgré qu'il utilise un bâton il sait très bien s'en servir

Margarete, une jolie espionne qui aime faire péter des trucs pour détourner l'attention alors qu'elle fait péter d'autres trucs, personnage qui au début voulait se servir des capacités de nos deux protagonistes pour l'état pour lequel elle travaillait mais qui ensuite de pleinement s'investir dans le groupe, personnage équilibré se battant en faisant des cabriole avec un pistole (en sachant qu'elle porte une mini-jupe et un décolleté... bha oui elle répond aux normes de l'espionne femme fatale, même dans ses poses) avant de piquer l'arme de Terminator, sa capacité spéciale quand à elle consiste à téléphoner avec un portable avant de tirer sur un cordon apparaissant de nulle part (doublement absurde et improbable... surtout quand on remet l'époque), son rôle sera d'analyser les caractéristique de l'ennemie (qui ne servira à rien vu que la plupart des boss n'ont pas leur capacités disponibles mis à part leur affiliation élémentaire) et au début soigner les altérations d'états

Keith Valentine, un vampire que l'on rencontre dans le château bleu qui n'est pas bleu dans la deuxième partie du jeu, après l'avoir aidé à résoudre un menu problème dans le village en contrebas de son château et débarrassé son château d'un visiteur non invité ensuite comme il se fait chier et vu qu'il est réveillé il décide de vous accompagner comme cela pour s'occuper, escrimeur habile il tailladera les ennemis de son épée tout en ayant à sa disposition des sorts assez puissants dont certains permettant de vampiriser ses ennemies pour se soigner, un personnage assez utiles car agile et capable de se soigner tout seul en blessant l'ennemi.
Si je ne m'abuse cette famille se retrouvera tout au long de la saga

Halley, jeune garçon vivant et protégeant des orphelins dans les rues de Londres ayant lui même perdu sa mère accusée de sorcellerie, il est un personnage assez intéressant car la recherche de sa mère sera une partie importante de la deuxième partie et donnera lieu à des révélations pour Yuri, véritable gamin des rue il se bat à l'aide de lance-pierres mais surtout dispose de puissant pouvoir extra-sensorielles qu'il a bien du mal à contrôler

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Le système de jeux (et du reste de la saga) est particulier pour son système de Roue du Jugement, en effet lors de chaque action
apparaîtra un cercle avec un curseur tournant tel l'aiguille d'une horloge, sur ce cerlce apparaîtront des zones colorée qu'il faudra frapper quand le curseur sera dessus, Pour les attaques physique trois zones apparaîtront, pour les sort une ou plusieurs zones médianes pour finir sur une zone contrastée sur laquelle plus on appuiera tard plus le sort sera puissant, il en va de même pour l'utilisation d'objets. Si au début cela n'a rien de sorcier et de passionnant avec l'arrivée de sort de plus en plus puissants les choses se corseront et l'ennemi peut altérer cette roue (en réduisant la taille des zones, en les rendant invisibles, en accélérant la vitesse du curseur, ...) de plus cela demande une attention de tous les instants, de plus au bout de la plupart des zones se trouve une partie rouges équivalent à une réussite critique, votre action aura alors plus d'effets, intéressant mais à double tranchant car vos chances de rater votre action augmente.
cette Roue du jugement servira aussi lors des achats pour avoir des remises ou vendre des objets plus cher, pour gagner des prix à la une tombola et réussir certaines action.
C'est donc un système central du jeux qui pourrait alourdir les combats mais n'en fait rien tant l'envie de faire des actions parfaites va vous obnubilé et aussi il n'es pas vraiment besoin de faire du leve-up pendant 15 ans dans un zone.

L'autre particularité de la saga consiste en les fusions déjà décrite plus loin est cette capacité de fusion du héros et dans cet opus du cimetière, donc en gros vous défoncer des monstres, les âmes de ceux-ci remplissent des jauges par type élémentaire, un fois cette jauge remplie vous allez dans le cimetière pour combattre un monstre particulier et une fois vaincu vous chopez son âme pour revêtir sa forme. Mais cela ne s'arrête pas là ! en effet notre héros éprouvent une certaine peur à se transformer et le cimetière en est la personnification, le héros dispose d'une amulette colorée qui au plus il va tuer des monstres va changer de couleur passant du bleu au vert, au jaune et au rouge, une fois rouge un ennemi imposant viendra vous défier dans le monde réel, pour empêcher cela quand l'amulette change de couleur vous avez la possibilité à un endroit du cimetière de combattre un monstre fantomatique pour calmer les âmes des monstres vaincus, je n'en dirais pas plus car pour avoir la bonne fin cet endroit est crucial.
Lovecraft oblige non content d'avoir un jauge de HP et de MP vous en aurez une de EM (équilibre mental), chaque tour d'un personnage faisant descendre de un point cette jauge, et vu la gueule de certains ennemis cela se comprend, certains personnages en auront plus que d'autres (notamment Yuri qui en consomme pour fusionner), influent directement sur votre stratégie car contre certains boss il faudra jongler avec les trois car ils ne se gêneront pas attaquer cette jauge, et un fois à zéro le personnage deviendra fou et attaquera au petit bonheur la chance tant que vous n'aurez pas remonté cette jauge ou fini tant bien que mal le combat, la jauge remontant à son maximum une fois celui-ci fini, un petit plus donnant du piment aux combats

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voila en gros le jeux mais il n'est pas exempt de défauts, rien de bien grave ni entachant vraiment le jeu mais présents quand même
Premièrement la traduction française est complètement à la ramasse et parfois se perd dans des phrases sans queue ni tête que vous aurez du mal à décrypter, la version anglaise est à conseiller si vous n'avez rien contre.
L'on pourrait lui reprocher ses graphismes mais bon c'est anecdotique on va pas tortiller du fion pour chier droit.
Par moments dans les quêtes annexes certains avènement m'ont semblé compliqué à appréhender sans solutions je prendrais deux exemples [spoiler] pour avoir la bonne fin autant le début est clair autant je n'ai pas compris le pourquoi de la deuxième loop avec les masques, et dans un autre cas certains déclencheur ne se font que si certains personnages sont dans votre groupe à ce moment mais il ne me semblait pas qu'il y avait des indications pour savoir qui mettre dans le groupe à ce moment [spoiler] mais globalement c'est expliqué d'une manière ou d'un autre si l'on est un tant soi peu curieux.
Un défaut minime mais qui n'est pas propre à SH c'est que par moment j'ai trouvé que l'on passait dans les dialogues un peu trop vite d'une situation à un autre à certains moment .
Un jeu qui est passé assez inaperçu et pourtant qui mérite que l'on s'y attarde, si vous en avez l'occasion que ce soit en physique où en émulateur n'hésitez pas un seul moment, quand à moi je reprend ma quête de la dive galette de plastoc
7-CRoy
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le 18 juin 2012

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