[2019] - Let's play ! :D

Annotation :

Version démat'
Fini le 01/01

++ Les personnages sont très bien animés, voir les personnages piqués au vif, se décomposer participe grandement à l'ambiance et au dynamisme dans ces procès très verbeux. La défaite des coupables, c'est toujours un grand moment !
+ Les séquences cinématiques avec le moteur du jeu donne du dynamisme à la mise en scène. Ça justifie le passage à la 3D et d'aspect, c'est plus plaisant que les scènes d'animation vraiment pas jolies (animation, régularité du trait).

+/- On a deux équipes une à Khurain et l'autre qui se trouve aux US/Japon, on a donc les différents processus d'analyse et de progression des 3 avocats. Le problème, c'est que parfois, on a l'impression d'avoir des gadgets plus que de véritables morceaux de gameplay.

-- La longueur de certaines affaires, entre les témoignages bidons, les retournements de situations, le rythme est très mal géré. La dernière volte-face est un vrai calvaire.
-- Nahyuta n'a pas de prestance, il est très fade et n'impose aucun style qui lui soit propre.
- La visibilité lors des analyses d'objets avec Ema. L'écran tactile est très zoomé et utiliser les barres de scrolling n'est pas optimal.

[Bilan] : J'étais contente de me lancer dans cet épisode, mais j'ai vraiment eu du mal. Je l'ai trouvé long, trop long, entre le témoin qui ne sert à rien, la multiplication de personnalités chez un personnage, etc. Je n'ai absolument pas adhéré à ces cas particuliers. J'ai beaucoup aimé l’utilisation du moteur 3D et le travail sur l'animation des personnages. L'entrée de Phoenix dans la salle m'a bien marqué, une très bonne idée, dommage qu'on ait pas eu plus de petites scènes de ce type histoire de dynamiser encore les procès. L'histoire de fond m'a plu sur fond de politique internet à Khurain, vraiment un des meilleurs points du jeu. L'autre gros point noir, selon moi, les personnages. Rayfa est un sidekick atroce et désagréable, Nahyuta est lui, transparent. Je ne l'ai pas senti comme une véritable menace juste un obstacle irritant qui récite des sutras. Il manque clairement de charisme et les têtes connues sont plaisantes à retrouver, mais on ne développe pas plus les personnages et c'est dommage.

Je pense que la formule ne fonctionne plus chez moi, trop linéaire, des climax qui ne m'ont pas plu, j'aimerais bien qu'on laisse le choix au joueur quant à l'approche d'un procès (Phoenix/Maya, Apollo/Trucy ou Athena/Simon) je vais laisser ça aux véritables amateurs du genre. :(

Annotation :

Obtenu via le programme de fidélité de chez Nintendo.
Fini le 03/01

++ Formule ultra addictive
+ Les explications sont données à travers 5 petits Picross à faire avec l'aide de Midona.
+ L'univers de Zelda TP est présent partout, dans le sound design, les images à découvrir en résolvant les puzzles. Une bonne idée et une façon pour les personnes qui ont du mal avec le skin lambda des jeux d'origine.
+ Le jeu permet de jouer avec les boutons de la console ou en mode tactile.
+ On a le choix d'avoir diverses aides pour progresser (les lignes indices, la coloration des chiffres indices si les bonnes cases sont cochées ou non, etc.), le jeu propose une quarantaine de puzzles à faire. On peut jauger sa progression grâce aux temps sauvegardés. Un système globale bien pensé !

- Le mode tactile peut être assez imprécis lorsque les grilles sont très grandes et du coup, les cases à colorer/barrer sont petites. Ce point c'est un peu pour chipoter, oui j'avoue.

Bilan : je n'attendais pas grand chose de ce jeu. je savais que la formule Picross pouvait rendre grandement accro au jeu et j'en ai fais un peu les frais. :3
J'avais commencé le tutorial à sa sortie et j'avais mis le jeu de côté pour faire autre chose. C'est après un Phoenix Wright que j'ai trouvé très, très décevant que je me suis décidée à lancer le jeu, je ne suis pas déçue du coup !

Annotation :

Gratuit il faut juste un abo au jeu en ligne et c'est parti !
Achat du DLC Big Block

++ Formule addictive
++ Simple à prendre en main, mais il va falloir pratiquer un peu pour maîtriser le système de visée et peaufiner ses stratégies (faire tomber les uns et les autres, riposter, etc.).
+ Possibilité de modifier la configuration action/bouton
+ Les objectifs quotidiens ajoutés par le DLC permettent de tester les modes de jeux, tester les mécaniques. L'obtention de tickets permet d'acheter de nouveaux thèmes pour personnaliser sa grille.
+ Nintendo propose régulièrement des tournois pour récupérer des thèmes exclusifs, on a eu : Splatoon, Kirby, Fire Emblem Three Houses par exemple
- La musique historique du jeu a été remixé, et je n'aime pas trop, mais c'était juste pour mettre un point négatif.


[Note] : Pas grand chose à dire, c'est super simple à prendre en main, addictif à souhait.

Annotation :

Version boîte

++ Le travail de reprise complète de l'environnement est superbe. Les plaines sont vallonnées, les falaises abruptes, la géographie surprend à chaque nouvel espace découvert. L'univers est crédible, incite à la découverte et à l'exploration. Galoper dans ces étendues est plaisant.
++ Les colosses ont tous une identité marquée, un comportement, chaque entrée est marquante et unique. Chaque affrontement est unique, il faudra (parfois) observer l'environnement pour en tirer parti et atteindre les points faibles.
++ L'OST et le sound design sont soignés. Les musiques s'adaptent aux phases des colosses (relativement doux, puis gain de force/puissance lorsque la cible est touchée).
+ Les jeux de lumières sont impressionnants créant des compositions qui rappelle les échelles de grandeur entre Wanda/l'environnement/colosse.
+ On débloque des éléments comme des accessoires et des images dans la galerie (les images comparatives entre le jeu d'origine et ce remake sont saisissantes, on voit le beau travail de refonte).
+ La mise en scène est simple, évocatrice, sans fioriture, l'ensemble est soigné.

+/- Il y a des éléments cachés dans le jeu, personnellement, je ne me doutais de rien du tout, j'ai lu qu'on pouvait trouver une épée par exemple. On a le côté surprenant de la chose, mais je ne pense pas que j'aurai découvert ça IG.

--- Le gameplay est simple dans le concept (se déplacer à pied ou à cheval, se déplacer pour trouver la cible, observer, grimper et attaquer les points faibles), mais beaucoup moins en pratique. Le contrôle d'Agro est catastrophique, les accroches sur les colosses sont imprécises rendant le jeu très énervant/frustrant, la caméra part dans tous les sens. le combo course à cheval et tir à l'arc sont vraiment horrible.
- Il y'a différentes configurations possibles, mais pas moyen de bind soi-même les touches aux actions soi-même.

[Note] : je n'ai pas fait le jeu dans sa version originale, j'ai découvert le jeu entièrement, tout m'a plu, sauf le gameplay qui m'a semblé d'un "autre âge". Ce n'est pas particulièrement intuitif, et les accroches imprécises rendent les duels contre les colosses vraiment désagréables par moment.

Annotation :

Edition Premium sur Switch
Le steelbook contient l'OST sur 4 CDs !

++ Version PS3 ce qui veut donc dire : ajout de deux personnages Flynn & Patty, costumes, artes supplémentaires. Le jeu diffère de la première version puisque que Flynn et Patty sont bien intégrés à l'histoire, le passage dans l'Altherum me parait bien plus cohérent avec Patty par exemple. Certains passages semblent plus naturels et bien contés.
++ Un des meilleurs battle system de la série, simple à prendre en main il gagne en profondeur au fil du jeu.
++ Le jeu est riche avec de nombreuses annexes qui permettent de débloquer des titres, des costumes, des saynettes. Le système de forge demande beaucoup de composants, il faudra donc savoir où les chercher pour créer de nouvelles armes et faire apprendre les compétences aux personnages. A ça, s'ajoute quelques mini-jeux, la recherche des recettes, les combats au Colisée,les Gigantos à abattre et enfin les missions secrètes sur les boss. Il faut plusieurs runs pour tout finir.
+ Une histoire plaisante à redécouvrir grâce aux modifications apportées par cette version.
+ Casting varié et attachant, chacun a son propre style de combat permettant à chacun de jouer selon le style qui lui conviendra le mieux.
+ Choix du doublage : US ou JP ! A noter que le doublage américain est un des meilleurs de la série. Les dialogues sont quasi tous doublés.

- On retrouve les défauts d'origine à savoir des quêtes annexes cachées et ratables lorsque l'on progresse dans le scénario. Il n y a pas d'indicateur particulier pour avertir que tel personnage donne/avance une quête secondaire, ni de carte de la zone visitée. La réalisation est très correcte, mais certains passages sont un peu bruts. Les monstres qu'on ne peut esquiver avec le level design étroit.
- L'OST il s'agit d'un travail de Sakuraba pour la série Tales of, donc ça accompagne plutôt bien le jeu, mais certains morceaux sont vraiment désagréables et d'autres surnagent par leur qualité.


[Note] : j'avais adoré le jeu sur 360 à sa sortie, force est de constater que ce remaster est de très bonne facture. Le jeu d'origine est très bon, et les ajouts au scénario de Flynn et Patty permettent de redécouvrir le jeu. Des scènes cinématiques supplémentaires permettent d'insérer ces deux personnages et ne sont pas justes des bonus collés en end game.

Annotation :

Version boîte Switch
Fini le 05/05/2019 en 45 heures

++ Ivalice est vraiment unique, son histoire, tout son background sont très riches. Le casting est vraiment excellent, avoir autant de personnages meurtris et mature fait plaisir.
++ Gameplay revu et corrigé grâce aux ajouts non négligeables que sont la possibilité d'assigner des jobs aux membres et d'accélérer la vitesse de jeu. Traverser ces très grandes étendues n'est plus une corvée (ou presque). Les gambits sont également plus nombreux et il est possible de créer 3 sets pour chaque personnage et de changer rapidement de stratégie.
+ Choix du doublage US ou JP, et possibilité de choisir entre OST originale ou réorchestrée.
+ Le système de checkpoint (à chaque changement de zones) est un sacré plus. Fini les frustrations d'avoir été one shot par un élémentaire qui traînait par là.

-- Le lifting est moins soigné que sur PS4, le jeu d'origine mise avant tout sur un travail minutieux des textures. Malheureusement sur Switch il faut faire des concessions et les textures sont bien moins fines que la mouture PS4.
- L'interface est très envahissante, les infos des personnages en bas à droite sont vraiment grosse, l'affiche de la carte en haut à droite prend de la place et le comble, c'est qu'on ne peut pas modifier le zoom. On affiche en général la carte complète en transparence qui ajoute encore à cette interface assez mal pensée.
- Les quêtes annexes vraiment cachés, il n y a pas d'icône indiquant une quête annexe, il faut interroger tous les PNJs.
- La chasse permet d'obtenir des gains parfois intéressants et développe un peu le background, mais c'est très mal pensé. Il faut accepter le contrat, trouver la personne qui a fait mis l'avis de recherche, accepter encore sa demande, battre la cible et revenir vers le PNJ.
- La caméra a un peu de mal à suivre et la reculer davantage n'aurait pas été du luxe.
- Les gains aléatoires des coffres sur le terrain et le fait que certaines techniques et autres magies ne se trouvent que dans des coffres, il n'est pas rare de passer à côté des indispensables.

Note : Je n'avais pas aimé le jeu à sa sortie sur PS2, il me restait le dernier donjon à faire, mais je n'y suis pas allée. J'ai préféré aller récupérer les Eidolons et je me suis arrêtée là. Là, je suis frappée par la maturité de l'oeuvre et je pense que je n'étais pas prête pour FFXII à l'époque. Peu de choses me plaisaient et là, c'est avec un immense plaisir que je me (re)lance dans cette aventure.

Annotation :

Jeu démat'.
Picross couleurs terminés

++ Ultra addictif !
++ Différents modes pour les débutants comme les plus expérimentés. Cet épisode ajoute les Picross de couleurs.
+ Les tutoriaux bien faits et courts.
+ Interface et sound design plaisant.

- Les dessins ne sont pas très jolis, certains sont même assez méconnaissables. J'aimerais bien un nouvel épisode avec une licence Nintendo (Zelda - TP s'y prêtait très bien).
- Le tactile de la Switch ne fonctionne pas.
- Plus de Picross couleurs auraient été bien, surtout qu'il s'agit d'une nouveauté. Il y en a 30.

Note : j'ai découvert la série avec le jeu 3DS Picross - The Legend of Zelda Twilight Princess. J'ai beaucoup aimé et une fois les règles assimilées, il m'a été très difficile de lâcher ma 3DS. Je n'aime pas du tout les méga Picross, je pense que je vais les mettre de côté. Je ne sais pas si je prendrais les précédents sur Switch, mais je pense que ce sont 10€ bien investis. :)

Annotation :

Version Switch
Community Center restauré avec les bundles.
Mariage avec Alex.

+ On découvre à son rythme les différents éléments du jeu : la culture de fruits et de légumes, l'élevage d'animaux, la pêche, etc.
+ L'ambiance ultra relax, le pitch de base est vraiment agréable et plutôt réaliste : après un burn out dans une des plus grosses entreprises, l'avatar décide de reprendre la maison de campagne de son grand-père.
+ Le jeu donne une assez grande liberté on peut choisir de parler aux PNJs ou non, développer sa ferme, se marier, etc.

+/- Le rythme peut paraître rapide au début puisque l'on a tout à découvrir, une fois les bases acquises, et que l'on s'est donné des objectifs précis, on peut trouver le temps assez long. Cela dit, les 3 ans donnés suffisent pour remplir les objectifs du Community Center à restaurer.
+/- Augmenter l'amitié avec les différents habitants n'est pas particulièrement poussé, chacun à son background et sa personnalité (très stéréotypée et presque sans saveur), mais donner des objets pour faire monter le degré est assez rébarbatif (en plus d'être matérialiste d'une certaine façon). Il arrive parfois qu'on soit amener à leur répondre ou de devoir leur apporter des objets spécifiques, mais rien de bien intéressant.
+/- C'est un jeu à Wiki, donc rien ou peu de choses sont expliquées.

-- L'interface n'est pas trop adaptée à une console, j'aurais aimé associer un outil à une touche par exemple. J'ai eu du mal avec le menu et je n'ai pas compris qu'on peut depuis ce menu regarder notre avancée dans la restauration du Community Center.

Bilan : un jeu très sympa qu'on a envie de découvrir de bout en bout. C'est plutôt joli, avec un peu de background, on est dans un pays fictif avec des créatures fantastiques ici et là. Malheureusement, on arrive assez vite au bout du concept, les actions deviennent répétitives et les améliorations de la ferme ne sont pas aussi nombreuses qu'espéré.

Annotation :

Edition limitée avec Persona 3 Dancing + DLC de Shinjiro & Goro
Acheté en mode bon plan.

++ Gameplay simple et accrocheur
+ Pistes, éléments de personnalisation (tenues, accessoires) à débloquer
+ Le "fil rouge" est bien plus léger et fait vibrer la corde sensible des fans de la licence. Celui de P4Dan était bien trop premier degré en plus d'être une succession de dialogues interminables...
+ Choix du doublage US ou JP, on peut couper les exclamations des personnages pendant qu'on joue (ouf !).
+ Les bonus de soutien permettent de se faciliter ou se corser le jeu.

+/- Remix/choix musicaux pas toujours très heureux. Mettre la chanson de fin de Persona 5 n'était pas une super bonne idée par exemple. La chanson est jolie, mais côté rythme on s'ennuie sec et on voit les crédits de fin de P5. Ça fait très piste "bouche-trou".
+/- La mise en scène est un peu plus dynamique avec les modèles 3D des personnages lors des séquences de dialogue. Ça reste assez statique cela dit.
+/- Les dialogues avec les confidents sont parfois amusants et feront plaisir aux fans, quand d'autres sont assez ennuyeux et tombent dans la facilité (accentuation des stéréotypes).

-- Beaucoup, beaucoup de DLCs, il y'a autant de pistes à acheter que dans la tracklist du jeu de base.
- Last Surprise en mode vidéo clip façon Moulin Rouge, les personnages féminins sont bien trop sexualisés. L'équipe des garçon à droit à un clip bien plus cohérent avec l'activité des Phantom Thieves.
- L'interface me parait moins soignée que le jeu d'origine. On retrouve les couleurs phares, le côté dynamiques des bulles de dialogue, mais ça me parait moins "fini" que dans Persona 5.
- La traduction française me parait assez étrange.

Annotation :

Version collector numérique.
Épopée finie le 03/07/2019

++ L'ambiance et l'épopée sont une vraie réussite. Norvrandt a une identité très marquée qui lui est propre.
++ Le déroulé du scénario, la façon dont on évolue dans les zones permettent de découvrir chacune des nouvelles contrées en plus de développer le lore (culture, peuples, Histoire).
++ L'OST encore une fois une réussite signée Masayoshi Soken. Il a parfaitement su donner une couleur à chacun des moments du jeu en plus de nous montrer son univers musical d'une richesse folle.
+ Le système Trust/Adjuration qui permet de faire les DJ de SHB avec les PNJ qui nous accompagnent pendant l'aventure.

- Certaines quêtes de l'épopée font office de remplissage.

Note : Après Stormblood qui était plutôt fade, inintéressant et prévisible (scénario) et très maladroit dans son contenu (Eurêka). Shadowbringers semble corriger le tir et propose une extension avec une identité forte et un dépaysement total. Les jobs ont tous été remanié et Ishgard va être de nouveau être sur le devant de la scène avec les quêtes de récolteur/artisans. L'épopée de base avant les patchs, est très solide.

Note à mettre une fois les patchs menant à la 6.0 faits.

Annotation :

Version limitée.
Premier run fini en 50 heures le 02/08/2019 (Cerfs et voix JP)
Second run avec les Lions de saphir le 25/08/2019 (Lions et voix US)

++ L'ambiance plus sombre et plus sérieuse dans la trame que les derniers épisodes en date. La toute première cinématique annonce la couleur.
++ Le système de combat offre plus de liberté : les changements de classe, la gestion des techniques, compétences, escouades, etc.
++ Les activités sont assez variées : pêche, compétences, liens d'amitié, jardinage, batailles, moral des unités à surveiller et autres annexes à débloquer.
+ L'impulsion divine permet de revenir en arrière et de sauver des vies, les lignes d'inimités ennemies sont très utiles et permettent de mieux placer ses unités.
+ Les soutiens permettent vraiment de mieux cerner les personnages et d'aller au-delà de leur aspect physique (coucou Lorentz).
+ Sound design soigné, 99% des dialogues sont doublés.

+/- Le monastère regorge de personnages à rencontrer et de PNJ avec qui discuter pour mieux comprendre la base du scénario. En fin de partie, il casse le rythme en plus d'être moins agréable à arpenter.
+/- Impossible de personnaliser notre héros, son intégration dans l'histoire peut laisser dubitatif. Presque adulte, il ne connait rien du monde qui l'entoure, ni des us et coutumes. C'est bien pour le joueur qui se pose des questions, mais pas terrible pour l'immersion et la crédibilité du prof'.
+/- Le character design propose des personnages plutôt sympathiques comme d'autres qui sont bien plus fades.
+/- Certains thèmes musicaux sont réussis quand d'autres sont un cauchemar absolu.

-- La technique n'est pas à la hauteur, les décors sont pauvres, pas de véritables jeux de lumière, on a des chutes de framerate (portable/dock) dans le monastère. Les maps sont parfois surchargés et la visibilité en pâti. Les temps de chargement sont assez nombreux.
- Les cartes manquent de lisibilité et de variété, on retrouve les mêmes environnements et les mêmes cartes.
- Interface assez peu pratique et menus assez fouillis. Pourquoi ne peut-on pas avoir "Liste" et "Objectif" tout le temps ? La gestion des inventaires est lourde et lors des achats, on ne voit pas les quantités possédées dans le convoi.
- Fonctions en ligne peu intéressantes qui peuvent casser l'équilibre du jeu.
- Mise en scène plate hors scènes cinématiques.
- Les objets perdus au monastère et les petites quêtes Fedex pas intéressantes.

Annotation :

Fini le 03/09/2019
En mode coop à 3.

+ Le mode scénario peut se faire à plusieurs.

+/- La carte du mode scénario est sympathique, mais aller parler au Roi oignon juste pour discuter (et avoir deux temps de chargements) et cacher des interrupteurs pour avancer n'était pas nécessaires.

-- Les temps de chargement sont nombreux, le jeu charge toujours tout, c'est à se demander si les développeur savent ce qu'est l'optimisation.
- Le jeu manque aussi de précision comme le premier.
- Présence de bug (je suis tombée d'une plateforme alors que la cuisine était fermée avec des barrières et aucun trou dans le plancher)

Pas grand chose à dire, il s'agit de la formule du premier avec de nouvelles recettes et donc de nouvelles façons de cuisiner. Toujours très fun à jouer cela dit. Le jeu vient avec une ribambelle de DLCs thématiques : plage, Halloween et autres monstres (vampires, loup garou, etc.), nuit de camp dans la forêt notamment.

Annotation :

Bundle avec P4DAN/P5DAN.
Doublage US

+ Toujours un plaisir de retrouver la team du SEES
+ L'ambiance est plus "détendue/relax" que chez la team P5.
+ Pas mal d'éléments à débloquer : nouvelles pistes, costumes, accessoires et autres règles supplémentaires pour faciliter ou corser le jeu.

+/- Tracklist qui reprend les musiques issues du jeu de base, Fes et de Portable. Les remix ne sont pas toujours une grande réussite.
+/- La liste des DLCs est importante, mais permet d'avoir Shinjiro Aragaki.

- Goro Akechi qui était fourni en DLC est présent, qu'il le soit dans P5 DSN est normal, mais ici, il fait assez tâche pour le coup. Et ça marche aussi dans l'autre sens, Shinjiro est présent chez les Phantom Thieves.


Bilan : On reprend les défauts et les qualités de P5 Dancing et on change les personnages et l'ambiance. J'ai préféré la version P3, peut-être parce que revoir le casting avec d'aussi jolis 3D models me fait rêver sur un potentiel remake du jeu d'origine...

Annotation :

Launch edition
Je n'ai jamais fini le jeu de base car trop difficile et le manque de motivation.
Facile + Sans risque pour cerner le jeu et changements possibles avec des runs supplémentaires.

++ OST au top et choix du doublage US ou JP.
+ DA unique et reconnaissable entre mille.
+ Les différents modes de difficulté qui permet vraiment à n'importe qui de s'y essayer. Entre le mode "Sans risques" qui retire toute limite de temps pour finir une épreuve, au difficile qui sera sans pitié. FB ajoute aussi de nouveaux challenges aux anciens joueurs avec des blocs de différentes formes histoire de changer un peu.
+ Bonne replay value, pour en savoir plus sur un maximum de personnages et avoir toutes les fins il faudra le refaire plusieurs fois.
+ La richesse en terme de messages cachés et autres symboliques qui sont surprenantes, mais qui s'inscrivent dans le travail de Hashino Katsura et la team SMT.

- Les séquences anime sont clairement de moins bonnes factures que les scènes cinématiques avec le moteur du jeu. La modélisation des personnages sont tellement clean et fidèle au style de Soejima que c'est du gâchis de faire de l'anime low cost loupé.
- Vincent et ses déboires avec les 3 personnages féminins phares et la base du jeu, par contre, la façon dont il s'enfonce dans sa situation fait trop dans la comédie. A un moment donné, faut peut-être te secouer un peu et enfin affronter tes démons, non ? J'ai du mal à avoir de l'empathie pour lui et le voir dégrader sa situation aussi bêtement m'ennuie plus qu'autre chose.

Annotation :

Version simple.
Personnage féminin et VO.
Fini le 25/09/2019 en 13 heures environ.

++ Jeu soigné avec une DA marquée et une esthétique plutôt plaisante.
++ Gameplay avec la chaîne très poussé avec des mécaniques vraiment uniques et intelligentes (enchaîner l'ennemi, tendre la chaîne pour le repousser, etc.). L'amélioration des légions permet d'étoffer le gameplay, rendant le jeu plus agréable qu'au début où il est assez lourd.
+ Chaque mission propose diverses annexes, les acharnés du scoring iront les faire. Ça permet d'exploiter les légions et d'agir en bon policier (jeter les canettes dans les poubelles, aider les citoyens, un collègue, etc.) et de voir son rang augmenter.
+ Mise en scène plutôt réussie, l'entrée en matière est marquante et on peut apercevoir des plans intéressants ici et là. Les plans lors d'un finish sur un ennemi permettent de marquer le coup.

+/- Le sound design est soigné, mais l'OST est très orientée sonorités électroniques et autre gros sons bien désagréables.

-- Le scénario plutôt prévisible. On est dans une trame très shonen-like, les relations, actions entre personnages sont évidentes. J'attendais autre chose qu'un simple jeu de super flic du futur contre une force surpuissante.
-- Les combats peuvent être un peu fouillis avec une caméra qui peine à suivre surtout dans le plan astral où on peut tomber.
- Le rythme est haché par des bavardages, des scènes cinématiques, des objectifs qui font offices de tuto.
- Le manque de personnalisation du joueur, il s'agit essentiellement de couleurs de cheveux/yeux et de coiffure. On rencontre d'autres PNJs qui peuvent ressembler à notre avatar ce qui créer un effet de clone.
- Les loots qu'on ne récupère pas automatiquement, on doit s'en approcher et appuyer sur "A". Pendant les combats, on peut chercher à récupérer un objet et se prendre une charge ennemie. On a connu mieux.
- Le jeu tente de proposer différents gameplay, mais ça ne fonctionne pas. La phase d'infiltration n'était clairement pas une bonne idée. Le sprint et s'accroupir sont sur la même touche... Les dev' le savaient car on peut passer en force (et c'est tant mieux) malgré tout.

Bilan : un jeu bon, mais qui ne m'a pas tellement passionné. Le gameplay est plaisant, mais l'action est très vite confuse. Je n'ai pas eu le temps de m'attacher aux personnages trop stéréotypés et au scénario trop convenu.

Annotation :

Un des premiers jeu Switch que je me suis payé.
Fini le 23/10/2019 en 38 heures
VOSTFR

++ Cette version du jeu embarque tous les DLC sortis sur la version d'origine. On peut donc télécharger différentes choses : scénarios bonus focus sur un personnage des épisodes précédents, des personnages jouables en plus, des classes, des objets. On les récupère via un PNJ dans le sous-monde.

+/- Jeu très riche comme les précédents épisodes, entre le scénario, le monde des objets, le monde des personnages, les missions d'explorations, les requêtes, etc. On a vraiment de quoi s'occuper, en revanche la monotonie peut vite s'installer car il s'agit avant tout de grinder de différentes façons.
+/- Humour/délire propre à la série avec de l'absurde, des démons pas si méchants, etc. J'avoue ne pas faire attention au scénario ni aux personnages. Je joue à la série pour le gameplay que je trouve plaisant (sans aller dans les tréfonds du méta et faire monter mes perso au niveau max).
+/- La lisibilité des cartes, entre les géo effets, les hauteurs il est parfois difficile de comprendre comment profiter du terrain. On peut manipuler la caméra pour mieux visualiser ce qu'il se passe sur le terrain.

-- La traduction française n'est pas une réussite, elle existe, mais entre les fautes, la traduction des attaques (et parfois non), les erreurs et les absences de traduction sur certains écran. Clairement, le travail a été bâclé. Autant s'abstenir vu le carnage.
- Très bavard, l'histoire n'a rien de bien intéressant (ce n'est pas la qualité première de la série), et le jeu se paye le luxe de déblatérer des kilo tonnes de textes indigestes. Heureusement, on peut passer toutes les scènes cinématiques (ouf.). Les personnages sont bien trop ancrés dans leurs stéréotypes rendant la lecture des dialogue vraiment pénible, sans parler de la qualité d'écriture globale vraiment pas folle.
- 16 chapitres, c'est long, très long, trop long.


Note : j'apprécie la série Disgaea pour son système de jeu plus souple que d'autres TRPG. Le lore et les personnages ne m’intéressent vraiment pas. J'ai toujours eu beaucoup de mal avec l'humour de la série, malgré tout, j'ai pu accrocher à la série grâce au gameplay et certains personnages (Valvatorez). Ce cinquième épisode se veut plus confortable et agréable à prendre en main. Cependant, la série exige du joueur soit de faire beaucoup de grinding où d'exploiter à fond le système de jeu qui est, parfois trop dense.

Annotation :

Version simple.
Jeu d'origine jamais fait. Fini le 1er Décembre 2019

+ La DA fonctionne bien, le jeu semble fait de petites figurines, c'est très mignon.
+ Très court à faire, le jeu démarre très vite et on évite les écueils d'une narration ennuyeuse et impossible à éviter (coucou Twilight Princess).
+ Les aides à travers le jeu : le téléphone et les statues de hibou dans les donjons sont une très bonne idée.
+ Le côté "déjanté" pas commun pour un jeu de la série. On y trouve de nombreux clin d’œil ici et là.

+/- Les donjons sont bien construits, mais revenir à la formule un donjon = un objet phare à employer ne me convient plus vraiment.

- Le framerate a dû mal à suivre lors des changements des zones. J'ai attendu l'arrivé d'un éventuel patch, mais il n'est jamais arrivé malheureusement.
- Le déroulé général pas toujours super intuitif : faire la quête des échanges, récupérer les mélodies pour l'ocarina.
- Pourquoi ne peut-on pas bind les touches (Z)L et (Z)R ? J'aurais bien aimé pouvoir mettre la Plume Roc sur une des gâchettes et laisser un des deux autres boutons avec un autre objet. La touche L est utilisée par les Bottes Pégase, et les développeurs ont décidé de dupliquer cet objet sur ZL.
- Le recyclage des mini-boss et leur aspect. On ne peut pas dire que ce soit très glorieux en terme de monster design, on mettra ça sur le dos d'un rêve très étrange. :X

Bilan : j'avoue avoir peu à dire sur ce jeu, je l'ai trouvé plaisant à faire, mais je ne suis pas sous le charme pour autant. J'admets également avoir du mal à revenir à l'ancienne formule de la série très systémique. BoTW est passé par là et se retrouver dans un déroulé ultra linéaire bloqué par la progression dans le scénario et donc des objets importants est assez déconcertant.

Annotation :

Version Switch démat.
Fini le 15/12/2019 en 28 heures

++ Ambiance réussie, on (re)découvre le folklore japonais comme un conte dont on est le héros.
++ DA réussie qui reprend les codes du Japon féodal de façon très agréable. L'OST s'inscrit parfaitement dans cet univers au final peu commun dans le JV.
+ Les techniques du pinceau céleste sont vraiment très bien pensées et originales. Elles sont utiles tout au long du jeu. L'acquisition de techniques se fait via une petite séquence très sympathique.

+/- Le jeu propose des mini-jeux ce qui permet de varier un peu, mais il arrive qu'ils deviennent des passages obligés pour avancer dans l'histoire (pêche, recherche de sources, etc.).
+/- Le principe repose sur la formule des Zelda : exploration, donjon en moins bien. Le level design fait faire des détours sans grand génie et rend la progression dans les donjons moins gratifiante.

-- Gameplay imprécis avec les accroches. Les coups de pinceaux ne sont pas toujours reconnus rendant le jeu plus fastidieux qu'il ne l'ait. Les phases de plateforme n'ont pas été un grand moment d'amusement...
-- Trop bavard, certains textes ne peuvent pas être accélérés. Ces scènes cinématiques (qui n'en sont pas vraiment) viennent casser le rythme.
- Le jeu est long, j'ai perdu mon intérêt à suivre lorsqu'on parvient à vaincre Orochi. La seconde moitié m'a clairement paru de trop, les développeurs ont voulu caser beaucoup trop de chose faisant qu'on enchaîne les courses inintéressantes rallongeant la durée de vie (Kaguya, l'auberge des moineaux, etc.). Les développeurs ont eu l'idée de jouer la carte du recyclage, on se retrouve à refaire certains boss plusieurs fois...
- La caméra est capricieuse, il faut sans cesse la replacer. Elle n'a pas un grand recul non plus pendant les combats. Elle ne facilite pas non plus la tâche lors des phases de plateforme dont a parfois du mal à apprécier les distances (l'étroitesse des environnements n'aide pas).
- Les combats sont assez inintéressants, sur la fin, ils deviennent de plus en plus longs, la faute à des défenses ennemies plus élevés.

Bilan : un jeu sympathique, mais qui à mon goût manque d'équilibre, incarner une déesse qui a pour objectif de redonner au monde ses couleurs est très plaisant. Dommage que le gameplay soit approximatif dans la reconnaissance des signes du pinceau ou énervant avec cette caméra capricieuse qui fausse les distances.