BD's - One shot

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Bastien Vivès tout craché. D'une finesse sans nom. D'un trait incomparable.
Polina, jeune danseuse talentueuse vivant sa vie au gré des propositions, au gré de ses amis et de ses envies.
Un portrait d'une jeunesse qui se cherche, qui veut vivre au delà des codes.
Un titre une nouvelle fois incontournable que l'on suit avec un plaisir fou tellement Vivès est intelligent et subtile. Les amours, les emmerdes, les coups de têtes, la sagesse et enfin la nostalgie d'une vie.
Un portait si banal finalement....

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C'est vraiment pas mal ce que propose Vivès ici. Déjà niveau dessin c'est vraiment cool. Et même le portrait dressé est à la fois super actuel et très fin de jeunes hommes et femmes d'aujourd'hui. Une petite BD qui vaudrait presque 500 pages d'un ouvrages sociologiques.

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C'est d'une finesse touchante et talentueuse. Ce flirt aquatique venant questionner nos motivations.
Le dessin de Vivès est vraiment très prenant, immersif et découper avec une remarquable intelligence. C'est à la fois banale et très fluide à la lecture. Un vrai petit plaisir comme peut l'être Elle(s). Tout en simplicité, en talent et en flirt.
Vivès laisse en plus le lecteur choisir ce qu'il en est du futur des deux personnages. Une fin ouverte, à l'image d'une BD aquatique, légère et reposante.

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On reconnait ici le trait de Last man.
L'histoire est vraiment sympa et reprend bien le concept de "vie rêvée". Une belle oeuvre, sympa, légère et pop.

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De l'aventure au féminin porté par un souffle libre et une vivacité sympathique.
Sans être exceptionnelle, La Grande Odalisque se lit avec un grand plaisir.

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Suite direct de La Grande Odalisque, Olympia conserve la même veine que son prédécesseur.
Un humour bien sentie, un style graphique unique et une intrigue cette fois plus complexe et plus surprenante (surtout la fin !).

Une fresque aventurière de qualité.

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Vivès est redoutable une nouvelle fois. C'est d'une originalité folle et son dessin est tout simplement splendide.
On prend plaisir à suivre ce flirt, l'amour grandissant au détour d'un livre jeunesse et d'un film jusqu'au complication. La narration à la première personne simule une discussion entre nous et ce flirt.
Quelques peu cliché mais tellement léger et bien mené que Dans Mes Yeux est une oeuvre aussi originale que follement légère.

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J'ai beaucoup ri. L'histoire sur les fantasmes est particulièrement drôle. Mais tout du long, le ton est cynique et tragi-comique. Sur ce point, L'Amour est une petite BD vraiment sympa et très facile à lire.
On pourra peut-être pester de ce manque finalement de matière, certaines situations, aux potentiels comiques importants, sont parfois trop courtes.
Côté graphique, c'est du Vivès (ouhouhou). Peut-être que par moment les dessins manque de mouvement mais tout le sens de l'oeuvre dans les dialogues, fins, drôles et vivaces.

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Gros coup de coeur pour ce "En Silence" qui est graphiquement absolument magnifique !
La représentation de la puissance de l'eau est imaginative et superbement mise en forme. Les couleurs pètent à la rétine, visuellement ça fait longtemps que j'avais pas lu un truc aussi pétillant.

C'est d'une sensibilité et d'une intelligence touchante. Chaque personnage se retrouve confronté à lui-même et le personnage Juliette est assez attachants : balancé entre son cocon et sa volonté d'émancipation, de mouvement, d'aventure, de changement.

KSTR est définitivement un label qui visuellement vaut le détour !

J'étais au bout du monde et toi de l'autre côté...

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C'est dans la veine des autres KSTR graphiquement mais c'est assez linéaire sur le fond. On trouve même certains enchaînements assez tirés par les cheveux. Le dénouement est très décevant est très attendu.....
Un titre très moyen.

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C'est très très très très intéressant. Le cachet du noir et blanc donne une vraie ambiance à toute cette quête d'histoire et de témoignage.
On peut juste reprocher un postulat "ultra-documentaire" qui peut parfois être un peu lourd.

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J'ai beaucoup aimé la première partie ainsi que la deuxième. Qui sont imaginatives, bien dessinées et assez originales.
La troisième est très fade par contre, je n'ai peut-être pas compris la portée de celle-ci mais je la trouve bien en dessous des deux premières.

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Une BD ! Enfin, ça faisait bien longtemps. Et quelle BD ! Quelle histoire, les dessins sont magnifiques et très parlant. On prend un plaisir grandissime à suivre ce couple perdue dans l'immensité du monde alors qu'ils partaient d'une petite île pommée.
Une franche réussite !

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Un sacrément beau récit. Un récit qui nous offre une belle entrée dans les goulags russes mais aussi dans un Manhattan des années 70 aussi moderne que gangréné.
Un dessin superbe tout du long donne une profondeur savamment orchestré. Le double récit est bien mené même si le "présent" est surtout un prétexte pour le récit historique que j'ai trouvé superbement intéressant et dingue. C'est à la fois dur et très humain et intimiste.
Le personnage de Pavel, solitaire et tiraillé par ses fantômes, est énigmatique et sacrément charismatique.

Little Tulip est un très bel objet (l'édition est vraiment belle), beau et profond.

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La début et le coeur de l'histoire sont tout à fait excellent mais la fin est un peu bâclée voir balancée. 70 pages autour de Sykes et de sa traque, à peine 10 pour résumer plusieurs années d'une vie...

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Dommages, la vision d'un chat doit être assez cool !
Le concept est original.

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C'est dessiné avec style mais y'a rien à part des femmes nues et de l'érotisme puant de soit disant poésie dans un Paris 2080 aussi peu imaginatif que bien retranscrit...On peut même pas passer de temps sur les dessins puisque derrière un visuel sympa y'a rien à voir....rien à lire, rien à ressentir. R.I.E.N

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C'est plein de culture pop et historique (Kubrick, Jésus, Moïse, etc...). On prend un plaisir malin à découvrir ce récit ponctué d'humour et d'imagination.
Se situant adroitement entre de la fantasy....et une forme d'histoire de notre monde.

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C'est bien dessiné et écrit. La morale est incisive...et tristement d'actualité. Le fond restera longtemps d'actualité d'ailleurs même si le message est connu, l'intelligence avec laquelle il est délivré donne une envergure particulière.

Mais l'autre point fort c'est le côté moqueur du titre qui met en scène une vraie parodie satirique et cruelle d'un procès aussi ridicule que socialement critique.

Le petit texte de fin est, en plus, très intéressant.
"C'est important, les frontières. Sinon, on ne sait plus qui haïr".

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Du très grand art. Une véritable fable sentimentale et réflexive. L'amour, la maladie, l'enfant...impressionnant la facilité qu'a Peeters a dépeindre des tranches de vie aussi intimiste que superbement banale.
Le dessin y est encore une fois d'apparence maladroite mais toujours juste, les émotions et les situations sont sans cesse retranscrites avec brio.

C'est une vraie petites perles que ce Pilules Bleues.

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Très loin de partager les idéaux présentés ici, il n'en reste pas moins que L'essai est un récit sympathique et éducatif sur ce village expérimental.
Au delà du fond c'est surtout la forme qui est plaisante, les dessins sont vraiment beaux et on prend plaisir à suivre page à après page la construction et la déconstruction de cet essai.

Le petit texte de fin est aussi très intéressant !

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Ahhhh laaaaa c'est le coup de coeur de l'année ! LE COUP DE COEUR !
C'est court mais tellement critique, tellement drôle, tellement absurde, tellement satirique, tellement vrai ! Média, famille, amis, société, politique, télévision, journeaux, consommation, pouvoir, racisme, théorie du complot, communautarisme...le gars arrive a dépeindre tout une société en si peu de page...Bonjour chef d'oeuvre.

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Toujours cet humour très fin de Fabcaro qui, ici, livre une autobiographie pleine d'introspection et d'humour.
En une dizaine de petites histoires, il décrit sa vie et revient sur son existence, on se retrouve dans certaines, pas dans d'autres mais le tout est sans cesse drôle ou absurde (notamment pour le sucre dans le café !).
C'est évidemment bien loin du chef d'oeuvre qu'est Zai Zai Zai Zai, mais ce Fabcaro reste une lecture très sympathique, drôle et évidemment sociale !

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Beaucoup moins drôle et critique que Zai Zai Zai Zai ou Le steak haché de Damoclès.
Celui-ci est un peu décousu et difficile à lire par moment, il n'en reste pas moins un vrai style Fabcaro. L'humour y est toujours tantôt absurde et tantôt critique et grinçant.

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Jusqu'ici le moins bon et le drôle de Fabcaro. On retrouve le thème cher de l'auteur mais....ça semble quand même bien vide de sens et surtout la satire est un peu facile à mon goût. Il manque une certaine finesse même si quelques annonces valent bien le détour et que le tout se veut évidemment critique mais...
A la marge, le format est assez bordélique et je suis pas trop fan de ce style de travail où on lit quelque chose qui n'a pas vraiment de trame...j'ai l'impression "de ne rien lire" car ça n'avance pas.

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Quelle tragique histoire quand même ! Au départ on s'attend à une histoire de gosse à l'école puis on se retrouve avec un meurtre final...flippant et à la fois sacrément banal.

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Une fable initiatique qui vaut surtout et avant tout pour sa qualité graphique et le style du crayon de Pedrosa.
Une vraie ardeur et vitalité se dégage de son dessin pour mettre en image cette quête à mi-chemin entre le fantastique tragique et l'utopie.

Une très belle aventure qui m'a toutefois laissée un peu sur ma fin dans les dernières pages. Le rythme s'accélère d'un coup et laisse un nombre très important de question en suspend. D'habitude assez beau joueur quand à ce genre de procédé, j'aurais ici avoir plus de réponse.

Trois Ombres reste un titre essentiel, bourré de talent et de personnalité, tel qu'on en croise peu.

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Mouai. Graphiquement c'est pas géniale. Surprise du début passée, le tout est assez prévisible.