"Because the night is dark and full of (t)errors"

Annotation :

Edinburgh! Surtout New Town en fait. Et le Balmoral. But who cares.
Billy Elliot le stalker, dans une histoire moralement douteuse - non, observer des gens copuler avec des jumelles depuis une cabane déguisé en homme des cavernes/femme, ce n'est pas dans la norme. Mais c'est regardable, parce que ça se passe en Ecosse, qu'il y a Jamie Bell et que finalement, c'est sympathique.

Annotation :

Feel-good movie ricain, avec une meuf qui est trop indépendante tiavu et qui n'arrive pas à avancer dans sa vie. Filmé en noir et blanc parce que c'est indépendant, comme la meuf. C'est léger.

Annotation :

On me l'a tellement vendu comme étant fabulous que j'ai été moyennement convaincue. Ouais c'est bien fait, ouais c'est sympa, mais ce n'est pas non plus une révélation, Monsieur Gustâââve.

Annotation :

Revu, toujours aussi bien.

Annotation :

Revu, et idem.

Annotation :

Ai-je vraiment besoin d'argumenter ma note. Un mélange de Twilight et Hunger Games. Je suppose que ceux qui défendent la série vont râler contre ceux qui font la comparaison mais foutreciel, c'est quand même le même concept (lolz lolz je suis jeune et fraîche et j'aime les vilains, pas inventé par Twilight mais remis à la mode façon dégueulis de poney arc-en-ciel guimauve), et c'est vachement niais.

Annotation :

Ça passait à la télé et j'ai raté le début. Matt Damon rend son personnage peu attachant, parce que c'est Matt Damon, il est pas beau et il est pas crédible, cet homme est une horreur sur pattes. (je l'aime pas en fait.)
Mais bon y'a Jake Davenport le BG.
Et c'est pas si horrible que ça, niveau film en soi, malgré Matt Damon le monstre, sûrement parce que c'est tiré d'un livre.
Mais je suis très déçue de la fin è_é
En fait, s'ils avaient mis un autre acteur peut-être que j'aurais pu plus accrocher. Bien que certains de ces actes m'aient donné envie de le gifler, le personnage principal aurait été moins irritant.

Annotation :

Meeeeeh. Décevant.
Les gangs de Glasgow se foutent sur la gueule tandis que Peter Mullan est bourré et que son jeune fils est gros et se prend pour une caillera.

Annotation :

Chiant. Pas intéressant. Pas novateur. Des persos à gifler. (surtout Zac Efron l'Effronté qui est l'archétype du new-yorkais arty, parfait et brillant juste un peu trop self-centered)

Annotation :

Edinburgh encore! Et les Highlands!
Un film épique racontant les aventures de deux loosers qui décident de braquer des bus de touristes américains dans la campagne écossaise avec des déguisements et des armes en plastique, et qui finissent par devenir une attraction touristique so famous qu'une chaîne de télé japonaise vient les filmer en action.
En bonus, le mec que tout le monde a oublié mais qui a une tête familière, le rôle principal, parce qu'il était dans Trainspotting and The Angel's Share.
Mais surtout, Théoden! En policier sympa.

Annotation :

Ce film me parle peut-être plus qu'à d'autres gens, vu qu'il y a eu des moments où je savais où Dany était, où j'ai fait les mêmes choses (Anek Lines c'est tellement ma vie #U2 :o). Puis bon, j'avais la joie de pouvoir critiquer les sous-titres, et plaindre les gens qui ratent la moitié de la signification des dialogues parce que certaines choses sont intraduisibles!
C'est une histoire toute simple avec des personnages cool qui évoluent dans un monde un peu caca mais duquel on peut toujours s'échapper un peu.
Comme c'est réalisé par Panos Koutras, les scènes hallucinées étaient obligatoires, et on sent ici qu'il y avait un peu plus de budget que pour Strella et je ne mentionnerai même pas la différence de qualité visuelle avec la Moussaka.
Je suis ressortie de la salle avec le sourire scotché sur la tronche et l'envie de le revoir!

Annotation :

C'est hyper racoleur pour finalement pas grand chose, avec la bande-annonce la plus mensongère de tous les temps (faut bien tenter de rameuter les foules avides de sexe je suppose). L'acteur jouant le rôle principal est très charismatique et tout le casting se débrouille très bien, ce qui rend le tout tolérable et sympathique, jusqu'aux deux tiers du film. Bon, c'est assez bateau, la danse, les performances, la romance, mais voilà, y'a des gens plutôt cool dedans (Udo Kier est terrifiant). Et ensuite ça sombre dans le mélodrame dénonciateur absolument pas accrocheur, avec la maladie et la décrépitude progressive, pour finir sur le générique annonçant des chiffres de victimes du sida, et c'est assez casse-pieds. La volonté de rendre hommage est louable, mais alors prétendre que le film va être un "conte de fées" dixit la voix off au tout début et se prendre une baffe aux deux tiers avec un renversement de situation certes permettant à l'histoire de rebondir mais ensuite ça staaagne, c'est mou, c'est la chute, et le spectateur finit par s'en tamponner grave, surtout que ce n'est pas du tout traité de façon originale et qu'il y a des tas d'autres films sur la dégénérescence - qui se concentrent sur ça. On serait restés sur la danse et les rêves de liberté du perso principal, et ç'aurait été très bien aussi ! Ne réalise pas un film aussi bon sur le sida que Dallas Buyers Club qui veut !

Annotation :

Pour une raison obscure, c'était soporifique.
En gros, c'est Underworld en moins sexy avec des gargouilles et des démons à la place des lycans et des vampires.
Honnêtement, est ce que quelqu'un en a quelque chose à faire?
Était-ce juste un prétexte pour faire un film aux échos religieux faisant peut-être ainsi des private jokes avec l'américain lambda, avec des massacres mais sans sang?
Quel est le véritable intérêt de I, Frankenstein, on se le demandera probablement jusqu'à la fin des temps.

Annotation :

Supportons les productions inconnues :
http://www.senscritique.com/film/Oi_ippeis_tis_Pylou/critique/36194244

Annotation :

Onirique et désabusé. On suit une bande de potes vivant dans un village suédois où il ne se passe rien, où il n'y a qu'eux, des vieux et la nature.
Et puis soudainement, au milieu de cette mollesse lasse et ponctuée de trips songeurs, il se passe quelque chose, on se prend une baffe dans la gueule, et malgré le caractère quelque part familier et très simple du film, on sait qu'on s'en souviendra.

Annotation :

Oh bah c'est très nul. Et c'est justement pour ça que le spectateur le télécharge et se l'inflige. En accéléré. Pas seul. Parce que c'est tellement nul que ça outrage et s'offre à la critique et aux rires. Aimons les productions de The Asylum !

Annotation :

Bien amené, bien fait, bien joué. Après, bon, il y a des choses qui m'ont un peu lassées et des tics de "film grec récent" qui me lassent aussi.
Une jeunesse un peu désabusée qui a les mêmes centres d'intérêt que partout ailleurs, à la différence près qu'ici pas de blagues lourdes et grasses sur le sexe comme on le subit souvent dans les films sur les ados. Ici tout est très réaliste, sans trop de musique et/ou de drame déchirant bien souligné aux violons. Et une fin mémorable et ouverte sans jugement.

En y repensant, Wasted Youth et Farval Falkenberg sont assez similaires (bien qu'avec un contexte géosocial fort différent), avec leurs ados sans avenir et leurs fins frappantes.

Annotation :

Elrond/Mr Smith en drag queen. C'est magnifique. Road trip en plein désert australien, avec des rednecks, des aborigènes, et des déjections d'ABBA. Divertissant.

Annotation :

Je me suis endormie un nombre incalculable de fois devant avant d'arriver à le terminer. C'est mal écrit, mal joué, moche (bon, c'est une vision de futur des années 90). C'est pas accrocheur, le scénario est dénué de rebondissements intéressants. Bref c'est une perte de temps monumentale.

Annotation :

Revu (encore) yé né mé lasse pas de ce jeu d'acteurs terrifiant, des accents posh, et de la 3D mirifique (#troll)

Annotation :

Revu (encore)
L'enquête du siècle!

Annotation :

Revu. Les Highlands oh yeah #swaggyswag
Aussi, j'ai dû le voir en français. Les doublages sont ehrm... Douteux?

Annotation :

Revu et cette adaptation pue, popopo (mais y'a toujours les Highlands #swaggyswag)
Et si je dis ça c'est parce que c'est le bouquin que j'ai lu le plus de fois, qui tombe en miettes dans ma bibliothèque, car je devais être obsédée par cette histoire dans ma folle jeunesse. Il y a tellement de choses qui s'y passent, tellement de sous-intrigues, d'aventures, que l'adaptation en un seul film était impossible sans charcuter le bouquin et ne pas tout expliquer. Un peu comme dans le Prisonnier d'Azkaban où ils ont vraiment fait du caca avec les patronus et le cerf et l'apparition de l'autre côté du lac. Mais le lecteur sera un éternel déçu, telle est la dure réalité, sauf s''il accepte le charcutage imposé par le réalisateur.
Points positifs de HP4: les jumeaux Weasley sont un peu plus présents. Ceytou. :D

Annotation :

Par un miracle incroyable, le film a gardé les qualités du court-métrage. C'est toujours la même ambiance, toujours la même histoire, sans racolage, sans rajouts trahissant l'original. Bravo monsieur le réalisateur.

Annotation :

C'était vilain.

Annotation :

Un casting de folie, une histoire folle, des personnages fous.
Le film a dû offenser tous les chrétiens de la planète. J'aurais aimé voir leur tête lors de la première apparition des géants de cailloux.
Russell Crowe est badass et tourmenté (et fou), Ham fait son emo, son grand frère a un faciès à claques mais ça va, et il y a beaucoup de flotte. Aussi il y a de la vinasse, des guns (ouais ouais), des drogues, et encore des tourments.
C'était distrayant.
Et la fin a été tournée à Dyrhoaley (ou qu'importe l'orthographe) ce qui est cool parce que j'y étais il y a quelques mois.

Annotation :

C'est reparti avec le topique du mec populaire BG (soi-disant) qui a une relation avec une fille timide qui s'avère être géniale et leur relation les fait tous les deux devenir de meilleurs êtres humains, avec un peu de disputes, des gloussements et des situations dramatiques. Pouuuh.

Annotation :

On retrouve Mélisandre, Lupin, Sherlock, le nouveau Docteur et quelques autres têtes connues pour un biopic de l'ennui.

Annotation :

(Hahaha hohoho le réalisateur est-il le pépé marseillais de Jennifer Lawrence?)
En fat ce qui me dérange dans Hunger Games c'est qu'on dirait une mauvaise adaptation de Peggy Sue. Peggy Sue dans son école de super-héros où il faut survivre dans la jungle, c'est beaucoup plus terrifiant. Serge Brussolo shot first :o
Cet épisode est mal balancé, on se farcit les états d'âme de Katniss l'emo et de Peeta l'emo, les gens se font tuer et il y a une pseudo rebellion et des gens qui font genre je complote mais je complote pas. Y'a Seymour Hoffmann aussi. Et le frère de Thor qui fait son ténébreux inutile.
Et les scènes de train, ça me fait juste penser à Snowpiercer et à quel point c'était mieux niveau rebellion sociale. (PARCE QUE FINALEMENT C'EST EXACTEMENT LA MÊME CHOSE MAIS EN PLUS BADASS, SANS UN TRIANGLE AMOUREUX CACA ET AVEC BILLY ELLIOT)
Sinon, le meilleur moment du film est le faciès de Katniss lorsque l'autre-meuf-là se déshabille dans l'ascenseur.

Annotation :

Meh. L'action se déroule (COMME JASON*) à Glasgow.
Sauf que l'héroïne est Melbournaise d'Australie et les deux autres sont anglais, du coup, l'Écosse, c'est juste le décor.
Ils chantent, ils dansent, et heu, voilà. Il y a une trame de fond finalement pas trépidante. Bref. Un long clip.
*Jason Derulo.