Cette année je me lance dans... Jodorowski

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OK, ça commence pas trop mal. Le dessin est un peu bordélique mais lisible quand même, et le scénario sent un peu la naphtaline de la BD SF française. Attendons la suite.

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Moouuui, ça devient un peu beaucoup brouillon cette histoire quand même. Heureusement les dessins de Moebius sont plus solides que dans le second tome, même si on note toujours des maladresses un peu bizarres (visages pas toujours identiques d'une case à l'autre, etc...). Lecture un poil pénible, on espère que ça ne continuera pas dans cette voie-là.

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Clairement mieux que le précédent tome, plus clair dans ses enjeux et dans le cheminement de ses personnages. Mais on a toujours du mal à voir la "big picture".

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Dans la lignée du précédent tome. Progressivement, on sent que ça monte en puissance quand même, tant au niveau du dessin que du scénario.

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Voilà. Là ça devient vraiment très bon. Certaines planches sont incroyablement belles (le combat de Solune : wow), la fuite en avant du scénario prend enfin tout son sens, jusqu'à une conclusion qui n'en est évidemment pas une. Un régal.

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Yes. Le focus retombe sur John Difool et son passage sur la planète Difool est hilarant. Puis la résolution de l'intrigue avant une dernière planche un peu couillonne, mais on pardonne, tant l'album est encore une fois généreux en planches anthologiques : les "cauchemars" des compagnons de Difool : re-wow.

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Bancal et foutraque au début, puis progressivement jouissif, à tous les niveaux. Les personnages, le design, les concepts brassés, l'univers, tout cela reste ancré dans la mémoire, c'est sûr. L'Incal prendra certainement de la valeur à la relecture. Hautement recommandable, mais pas forcément accrocheur tout de suite pour le lecteur insouciant.

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Pas nécessaire d'avoir lu l'Incal avant de se lancer, même si les petits rappels sont forcément appréciables. Je trouve les dessins de Gimenez plus clairs et reposants que ceux de Moebius sur l'Incal. Plus accessible et direct que l'Incal, et il faut le dire, 'achement plus classe. Une belle claque en tout cas, pour cette histoire familiale qui commence sur les chapeaux de roue.

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Un second tome dans la lignée du premier ; plus cruel, plus beau, plus profond, et tout aussi bon. Pour l'instant un gros coup de cœur sur cette série.

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Moui bon là il fatigue papy quand même. Scénario sans surprise - forcément avec un sujet historique rebattu comme celui-là, personnages sans trop de nuances si ce n'est dans le degré de perversion, dialogues sentencieux sentant l'effort de reconstitution un peu maladroit... Après ça reste rigolol: il y a du cul, des scènes abominables, et quelques cases assez spectaculaires, bien que je trouve les dessins de Manara toujours un peu identiques quelque soit le sujet : dans ses propres BD, dans son travail pour Marvel ou ici, on a toujours l'impression de voir les mêmes modèles de personnages fourrés dans des costumes différents. Si la suite ne relève pas le niveau, ça sent l'eau de boudin.

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Ouh là ! Je mets la moyenne parce que c'est rigolo mais entre les dessins assez spéciaux / laids et le scénario qui ressemble à une parodie de Jodo par lui-même, il y a de quoi se gratter la tête. Mais bon ça prend 10 minutes à lire, certaines idées sont marrantes et le graphisme "particulier" lui donne une identité propre. A voir comment ça évolue dans les tomes suivants.

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La surprise des premiers tomes passe un peu, mais les qualités restent intactes. Saga familiale mouvementée, imagination débordante, dessins magnifiques, sens du rythme et du suspense... Toujours aussi bon.

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Petite baisse de régime... Oh, on rigole toujours autant, les qualités des premiers tomes sont toujours présentes, mais le dessin faiblit un peu, notamment dans certains visages assez ratés, et le procédé commence (forcément) à s'essouffler, poussant Jodo à des extravagances délirantes et bien tournées mais sentant un peu le palliatif. Largement recommandable malgré tout.

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Rien de bien neuf par rapport au premier tome (cul, violence, provocation), mais ça se laisse toujours lire d'un oeil distrait. Quelques belles cases de Manara : les visions de Savonarole, les scènes d'orgie... mais ça reste mineur.

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Toujours aussi bête et méchant, toujours aussi distrayant...

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Le dernier volume décolle un peu avec son ambiance de fin du monde, et ses libertés jouissives avec l'Histoire (les machines de Leonard de Vinci !). Au final, une saga distrayante, méchante, agréable si l'on est pas allergique à Manara, mais un peu limitée quand même.

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Euuuh, non. Le premier tome avait l'avantage d'être agréable narrativement, mais là c'est concepts surannés sur néologismes fatigants, et toujours des illustrations hideuses hybrides entre dessin et 3D. On dirait l'Incal en nul.

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Enfin ! On ne nous inflige plus les horribles dessins 3D. Dommage que cela n'ait pas été le cas plus tôt, car c'est assez joli ici... Côté histoire ça s'améliore aussi avec les origines du monde cauchemardesque de Megalex et la conclusion (ultra-rushée) du récit. Quelques belles idées (les jumeaux), mais sur lesquelles planent toujours l'ombre de l'Incal...

Fin correcte, donc, d'une série oscillant avant cela entre le réchauffé et l'ignoble.