Courts-Métrages découverts en 2016

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J'ai faillis oublier cette grosse merde. Autant vous prévenir tout de suite, ceci n'est pas un film sur GT Gabi. En effet même si Cyprien reprend quelques traits psyhiques, l'activité principale et le nom de l'empereur du Brocante Game, ce que nous voyons à l'écran n'est pas GT Gabi. Rien de ce qui faisait la spécificité et l'hilarité de ce personnage ne fut conservé. Ni ses phrases cultes, ni les personnages emblématiques de son entourage, ni les situations d'Anthologie que nous avons pu observer durant ses vidéos, rien du tout. Cyprien se contente juste de reprendre l'image de GT Gabi pour en faire un Cyprien (version Eli Semoun), c'est à dire la grosse caricature du geek nerd puceau et complètement débile. Toutes les blagues tournent autour de ça, ce genre d’humour jouant faussement dans l'auto-dérision alors qu'il embrasse avec insistance la carte de l'humour moqueur et facile grâce à une caricature ringarde qui ne parle plus à personne. Tout est vraiment navrant dans ce film, mais le plus triste, c'est que Cyprien est tenté de faire passer ça pour un hommage à GT Gabi alors qu'il nous a clairement volé le personnage pour le massacrer. C'est tout bonnement scandaleux.

Je ne m'attarderais pas sur la présence du JDG et de Justine Le Pottier dans ce court-métrage. Ils ont voulut collaborer avec l'ennemi qu'ils en assument les putains de conséquences.

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C'est quand même autre chose que La Cartouche non ?

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Avis Complet :
http://www.senscritique.com/activity/130199/19277335

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J’ignorais que les tests pour épileptiques étaient désormais notables sur SC.

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Concept intéressant pour un film marrant et visuellement assez créatif.

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Idée sympa mais mal exploitée et je déteste l'univers graphique ainsi que le design du perso principal.

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Visuellement sympa mais c'est à peu prêt le seul intérêt de ce court-métrage.

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Une perle d'humour noir complètement barrée autant dans son scénar que dans ses graphismes et son animation.

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Ce film constitue le brouillon de ce que sera le style de Chomet. Un univers graphique singulier et très français, pas de dialogues, une animation particulière, des fondus enchaînés marrants et lourds de sens ainsi qu'un scénario burlesque et délirant. J'aime toujours autant surtout que celui-ci étant très court il ne souffre d'aucune longueur contrairement aux Triplettes de Belleville.

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En dehors de la patronne de Lucie qui joue affreuse mal, je n'ai rien à reprocher au premier court-métrage de Dextoutcourt. Il n'ya cependant pas grand chose à encenser non plus. Je ne dis pas que c'est mal fait. La réalisation est très esthétisée en plus d'avoir du sens par rapport à l'histoire et au propos abordé. Mais après... filmer au caméscope les souvenirs du couple, filmer un champ contre-champ en cadrant volontairement mal la patronne pour marquer l'indifférence de son interlocutrice à son égard, filmer une chambre uniquement éclairée à la veilleuse rouge avec une caméra tremblante pour représenter le chaos intérieur et extérieur de cette fille dépressive et tenter d'instaurer une ambiance glauque et oppressante... Se sont des idées de mise en scène assez bateaux voire un peu grossière. C'est pour ça qu'en définitif je trouve le film quelconque et oubliable.

Mais je serais néanmoins curieux d'entendre son réalisateur nous en parlé. Je sens qu'il y'a une intention toute particulière porté au son et comme j'y connais absolument rien dans ce domaine j'ai bien envie de savoir quelles étaient ses intentions à ce niveau là.

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Putain ça c'est un fan film amateur qui a de la gueule et ce, malgré une mise en scène parfois un peu too much et des effets quelque peu chipos.

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Très drôle et bien soigné au niveau de sa mise en scène. Ce petit court-métrage nous offre une belle aventure sympathique, jouant avec malice sur les codes de l'horreur pour mieux les détourner et nous amener vers une toute autre direction inattendue. J'aime aussi le fait de reprendre certains éléments des autres films, comme la phobie de Jessie ou le fait qu'elle et Woody soient deux pièce de collection valant un paquet d'oseille. C'est non seulement utilisé pour créer de bonnes péripéties, mais ça permet aussi d'assurer une cohérence avec le reste de la saga, même si on est pas dans un film à part entière. L'évolution de Jessie, obligée de surmonter sa peur pour sauver la situation rajoute de l'enjeu à l'histoire, même si c'est traité assez sommairement. Le Deadshoot Toy a juste à lui faire un sermon de militaire sur le courage et la détermination pour qu'elle se sente suffisamment motivé :/
Mais bon, au-delà de ça. Le court-métrage reste très amusant.

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Sympa mais on sent que Angus McLane n'est plus à la réal. Le rythme est un peu trop soutenu mais le potentiel du concept est bien exploité.
Tous ces courts-métrages réussis et plein d'inventivités me disent que Toy Story devrait donner lieu à un dessin-animé plutôt qu'à un autre film.

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De loin le meilleur court-métrage Pixar. Le plus drôle, le plus créatif, celui avec l'idée la plus originale et la plus exploitée à son maximum. Un petit film plein d'inventivités qui ne ressemble à aucun autre.

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Une idée sympa mais une histoire facile, prévisible et des gags vraiment pas terribles.

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Un court sympa, dans la veine d'un Looney Tunes ou d'un Tex Avery, la folie visuelle en moins évidemment à cause des limites imposées par l'image de synthèse.

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J'ai deviné le twist direct et... c'est tout ce que le court a à proposer. Ok, intérêt sur 20 s'il vous plaît ?

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C'est juste une démo technique pour montrer que Pixar sait faire de la bonne animation photo-réaliste maintenant, malheureusement ça n'a aucun autre intérêt cinématographique.

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Je passe sur l'animation du vieillard très bien réalisé pour mettre en lumière ce que je préfère dans ce film. Son concept et sa concrétisation hilarante.

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Je passe sur l'animation du vieillard très bien réalisé pour mettre en lumière ce que je préfère dans ce film. Son concept et sa concrétisation hilarante

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J'ai jamais été un grand admirateur des court-métrages Disney-Pixar de manière générale, c'est donc pour moi une agréable surprise. Alors les thématiques abordées dans ce petit film ne sont pas nouvelles, c'est la fameuse histoire du travailleur acharné qui à force de dévotion à son travail devient un rouage de son entreprise capitaliste et qui du coup oublie complètement de prendre du plaisir à vivre, avant de se remettre en question à la fin.
Seulement cette histoire en apparence un poil éculée nous est ici comptée avec une malice et une créativité détonante. Reprenant le concept de Vice-Versa, notre personnage va alors vivre une bataille intérieure, non pas entre ses différentes émotions mais entre ses différentes anatomies : "coeur, estomac, poumon.." et la froide et implacable raison représentée par son cerveau qui, terrorisé par les probables accidents de la vie quotidienne, empêchera notre héros d'assouvir ses envies les plus humaines. Nous assistons donc à une querelle entre le corps et l'esprit, idée qui enrichit magnifiquement le récit, autant en terme de fond que de péripéties, donnant lieu à tout un tas de scènes cocasses toutes plus hilarantes les unes que les autres et parfaitement agencées dans un montage sans fausse note.
Ajouté à ça, un univers graphique unique et rafraîchissant qui colle parfaitement à l'histoire racontée et donne encore plus de sens à certaines séquences.