2017 : Films vus (et revus)

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Découvert le 04/01 - Difficile de le noter, très belle photo mais film verbeux et répétitif et surtout aux personnages et au message antipathiques.
Décidément les Balkans, c'est pas ma tasse de thé.
Quant à la comparaison avec un western, elle doit venir de gens qui ne connaissent rien au genre. (Ah, c'est parce qu'il y a des chevaux, ah d'accord !!)

6/6,5 pour la photo et le thème historique - 5 pour le reste -

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revu le 08/01 - Au moins la 6ème vision, peut être plus - TV -

Certes Zeffirelli était une vieille baderne fascisante, certes son respect des formes ultra classiques peut lasser, mais ce film là ...

Olivia Hussey et Leonard Whiting sont immortels et ont à tout jamais 14 et 16 ans. La plus belle Juliette, le plus beau Roméo
(Léonardo de Carpaccio plus tard, fera rire dans une ridicule adaptation modernisée). Moi je serais toujours amoureux de Olivia Hussey.

10/10 bien sûr.

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Découvert le 08/01 - TV -
Après Prométhéus une autre bouse de Scott . pas de scénario (pourtant l'histoire s'y prête), pas de logique interne, pas d'enjeu (sauf le doute d'un Moïse schizophrène qui parle à Dieu, un gamin capricieux), des effets spéciaux envahissants et qui tiennent lieu de talent, des acteurs limite, une musique envahissante et pompeuse (les compositeurs d'Hollywood connaissent-ils autre chose que les Carmina Burana, Dead Can Dance, et le Peter Gabriel de la Dernière tentation du Christ ?)
Je crois que Scott est perdu pour le cinéma, et c'est bien triste ...

3/10

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revu le 10/01 - 2ème vision - TV -
Toujours aussi médiocre comme presque tout Polanski (sauf Chinatown et Tess pour ce que j'ai vu. Et oui oui j'ai vu Rosemary et c'est moyen). Celui là est vain, il trahit allègrement le livre de Perez Reverte, pour des frissons bon marché et des succubes de bazar. Le fantastique de Polanski prête à rire.
Et Johnny Depp est toujours aussi inconsistant
Toujours 4/10, et c'est bien payé

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revu le 10/01 - 2ème vision - TV -
Avec Ford, c'est tout le contraire d'avec Polanski. Un Ford moyen recèle toujours quelques trésors, quelques plans à la beauté flamboyante. C'est le cas ici même si le film est un brin paresseux, surtout en ce qui concerne le scénario.

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Découvert le 11/01 - TV -
Moi, j'aime plutôt bien Pascal Thomas, que je trouve touchant dans son approche de l'humain. Mais il a bien changé depuis ses débuts en se recyclant dans les polars familiaux (la catastrophique série avec Dussolier et Frot). Là il mélange un peu le polar grand public et la tranche de vie mais c'est par trop léger et sans enjeu. L'acteur principal montre infiniment moins de charisme que les autres acteurs/trices.(A part Gillain insupportable et peu crédible en bourgeoise nympho).
Et puis le film souffre terriblement d'un éparpillement thématique qui le rend décousu et dispersé, ce qui fait que finalement on s'en fiche un peu de l'identité de l'assassin du falot Valentin (mais comment fait il pour attirer tant de femmes avec si peu de caractère ??).
Au final, çà se laisse regarder mais c'est décevant

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Découvert (hélas) le 11/01 -TV -

Mon premier contact avec ces génies modernes du cinéma les frères/soeurs Wachowski (j'ai bien vu quelques extraits de Matrix, mais çà m'a semblé sans beaucoup d'intérêt). J'ai été rassuré : c'est encore plus nul que je ne pensais.
Dans les scènes d'action, çà n'est pas du cinéma mais un jeu vidéo.
Dans les scènes calmes, c'est à peu près aussi profond et crédible que Oui Oui à la plage.
L'humour est drôle comme un cancer du pancréas, les acteurs sont aussi bons que Louis de Funès et Schwarzenneger s'ils jouaient dans un remake de la cage aux folles, les costumes sont d'une laideur à faire passer Karl Lagerfeld pour un authentique créateur.
Les dialogues sont aussi subtils que les paroles d'une chanson de Chantal Goya, la philosophie aussi profonde que le gouffre de Padirac. Les rebondissements sont aussi crédibles et intéressants que l'intégrale des mémoires de Kim Kardashian.
Bref, c'est nullissime. (et d'une laideur repoussante !!) .
Une pierre de plus dans l'abrutissement des masses en attendant la Moisson dont parle le film, ce qui ne saurait tarder si ce genre de '' film'' persiste à vouloir nous transformer en bétail prêts pour l'abattoir. .
Désolant...

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Tentative de découverte le 11/01 - TV -
Mais çà a été court , car je n'ai tenu 10 minutes avant de rendre les armes devant tant d'afféteries, de complaisances, de recherches d'étudiants en cinéma appliqués. Le tout pour rendre hommage à ce genre surestimé qu'est le giallo (il fallait bien que je cite le mot, puisque tous l'ont fait dans chaque critique sur ce site).
Mais Cattet et Forzani ont oublié un maître concept du cinéma de genre : l'efficacité. Leurs errances intellos, morbido-décadentes, en pompant des cinéastes hype comme Lynch ou Noé trahissent le genre qu'ils entendent glorifier, le banalisent, en font un produit mode et finalement sans âme et sans tripes (un comble pour un giallo !!).
M'enfin , qu'ils se consolent leur oeuvre mieux maîtrisée dans la durée (10 minutes max je vous dis) leur assurera un avenir financièrement confortable dans le clip vidéo ou la publicité quand ils auront fini leur école de cinéma.

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revu le 13/01 - Un point de plus soit 9/10 - TV -


Il était déjà difficile de résister au rythme échevelé d'un film comme La Dame du Vendredi du même Howard Hawks. Celui là, réalisé deux ans plus tôt, est encore plus foutraque, ne s'embarrasse d'aucun scénario, d'aucune vraisemblance. Seul compte l'efficacité de cette mitraillette à gags qui reste une des plus grandes screwball comedy jamais tournée. Qui plus est merveilleusement servie par ces deux extraordinaires cinglés que sont Cary Grant et la Grande Katharine.(on se demandera encore longtemps qui est le/la plus brillant(e) des deux).
Folie furieuse, quiproquo, travestissement, chasse au léopard en chansons, déshabillage des uns et des autres, jet de pavé sur les notables, dépecage de voitures, effondrement de brontosaure, Hawks et ses acteurs osent tout, pour que règne le chaos.
Heureusement, Monsieur Bébé, le léopard, et le chien Georges sont là pour amener un peu de tendresse et de calme dans
l' asile d'aliénés cinématographique qu'est ce film.

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revu le 13/01 - un point de moins soit 6/10 - TV -
Si j'ai retiré un point à ce film, ce n'est pas que j'aime moins Jacques Tourneur. Je considère toujours Vaudou, la Féline et surtout Rendez vous avec la Peur comme des chefs d'oeuvre du cinéma fantastique. Mais celui là, même s'il contient de fort jolies choses (l'errance de la première victime est vraiment prenante et admirablement photographiée, ah les lumières du train sous le pont de l'arroyo asséché !!) souffre trop de son manque de moyens, et de son hésitation entre fantastique et polar.

Et puis les acteurs/trices sont franchement sinon faibles, du moins oubliables. Quant au scénario, il manque de la rigueur qui fait le charme des films cités plus haut.

Cà reste intéressant à regarder, mais on est loin des plus belles fulgurances de l'ami Tourneur.

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revu le 14/01 - note inchangée - TV -
Toujours un OVNI cinématographique, à la fois drôle et perturbant, remarquablement défendu par une actrice à croquer et un surprenant acteur plus habitué, si j'ai bien compris, car je ne le connais que par ce film, a de médiocres comédies bêtasses qu'à des films d'auteur. Mais cette pelloche réussit cette performance d'être l'un et l'autre successivement et concomitamment. Un OVNI, j'vous dis ...

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Découvert le 15/01 - Téléchargement -
Cà commençait bien, avec l'idée des Indiens évangélisés portant des noms bibliques. Hélas Marshall, est un cinéaste trop médiocre pour assurer plus que le minimum syndical, l'histoire d'amour est trop envahissante (même si sa conclusion peut surprendre), et la bondieuserie finale emporte toute vraisemblance sur son passage. Dommage , il y avait mieux à faire avec ce sujet, mais Hollywood édulcore trop souvent ses bonnes idées.

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revu le 16/01 - note augmentée d'un point - TV -
Je n'avais pas revu ce film depuis sa sortie en salle (putain, 40 ans déjà !! ) et j'en gardais le souvenir d'un bon film mais assez ambïgu. On ne sait pas trop si Brooks est un moraliste analysant remarquablement la profonde dichotomie américaine entre libéralisation des moeurs et bigoterie religieuse, ou bien s'il s'est transformé en vieux con réactionnaire (ce qu'il était loin d'être au début de sa carrière) voulant avertir son public des dangers de la dite libération. Attention les filles ne baisouillez pas à tort et à travers, ou vous serez punies par de méchants obsédés, homosexuels de surcroît.
Je ne crois pas à cette lecture réductrice de l'oeuvre mais le doute est permis.
Ce qui est sûr, c'est que non seulement Diane Keaton était bien jolie en 77, mais aussi que c'était une fichue actrice qui porte le film à bout de bras dans un rôle complexe bien différent d'Annie Hall ou de Manhattan.
Et même Richard Gere est plutôt bon, ce qui, on l'avouera est nettement plus surprenant.
Au final, en dépit de ses incertitudes thématiques, un très bon film, au ton particulier, remarquablement interprété, et éclaboussé de quelques fulgurances de mise en scène très convaincantes ( la scène finale est plus glaçante que toute la production de gialli de Fulci, Bava et Argento réunis).

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découvert le 19/01 -
Pas grand chose à en dire : Matthew McConaughey est cool, l'histoire un peu tirée par les cheveux est néanmoins intrigante (mais comment va t'il s'en sortir ?? ).Ni transcendant, ni honteux, un produit manufacturé made in Hollywood, pro et sans surprise. 5,5 arrondi à 6 grâce à McConno-hi.(Mais vous le prononcez comment, vous, son p... de nom ??)

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Découvert le 20/01/2017 - Téléchargement -

L'acteur Jeff Chandler avait pris un abonnement pour interpréter le chef Apache Cochise. Il l'a fait par trois fois : dans le célèbre et excellent '' La Flêche Brisée'' de Delmer Daves qui passe (à tort) pour le premier western pro indien, dans le médiocre Taza, fils de Cochise de Douglas Sirk (Sirk est bien meilleur pour les mélos que pour les westerns) et dans ce petit film ultra classique de Georges Sherman, réalisateur '' à la chaine'' de petits films de série B ( Wikipedia en liste 110 de 1938 à 1971 (soit plus de 3 films par an!!).
La plupart sont des westerns, et il est évident qu'une telle prolifération ne peut se faire qu'au détriment de la qualité.
Les dialogues sont ampoulés (attention, une fois n'est pas coutume, j'ai vu le film en VF), les prises de vue, notamment les scènes de bataille sont brouillonnes et convenues, les acteurs plutôt transparents.
La thématique est ultra classique : Cochise et le commandant du fort cherchent à sauvegarder la paix et le méchant Géronimo et l'agent des affaires indiennes corrompu veulent la guerre. Evidemment les méchants seront finalement vaincus par les gentils, même si çà laissera des traces.
Bref un film pro indien de série, seulement sauvé par de beaux paysages et la présence de Jack Elam (l'homme à la mouche dans Il était une Fois dans l'Ouest).
Un film oubliable.

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découvert le 20/01 - Cinéma -

J'ai très longuement hésité avant que de pondre un billet sur ce film. Non que je ne l'ai pas apprécié, car il possède un grand nombre de qualités : la photo est très belle, la mise en scène efficace, les effets spéciaux très réussis (les vaisseaux et les extraterrestres sont très beaux et très étrangers, au sens Alien du terme), ne sont pas m'a-tu-vu mais servent remarquablement l'histoire. L'actrice est convaincante et les réactions des terriens à l"arrivée des extraterrestres semblent crédibles et originales.
En bref, un film agréable, une science fiction intelligente et sensible, un réalisateur talentueux.
Hélas, quelques scories viennent empêcher le film d'accéder au panthéon du genre, quelques ratés mineurs qui irritent d'abord :

-une vision géopolitique foireuse et très américaine ( les Chinois, les Russes, les Pakistanais et Somaliens sont vraiment très bêtes, nouvel Axe du Mal, n'y manquent que les Coréens)

- comme par hasard le seul pays européen visité est le Royaume Uni (vous avez remarqué l'appétence des extraterrestres pour les pays anglo-saxons ??)

- la scène du complot des soldats américains vient comme un cheveu sur la soupe ( à moins que les producteurs n'aient demandé un rebondissement obligatoire dans tout blockbuster.)

Ce sont des défauts mineur mais hélas d'autres éléments sont plus gênants, car tenant plus au fond :

Tout d'abord le sempiternel recours aux paradoxes de l'espace temps. Apres 2001 et Interstellar, il faut croire que la science fiction intelligente ne l'est que si on en passe par là, et c'est franchement irritant et peu original.

Mais ce qui m'a surtout gêné, et a un peu gâché mon plaisir, c'est cette confusion entre le général et le particulier entre l'aventure collective et individuelle. Un des intérêts du film est de montrer qu'un contact avec des êtres intelligents venus d'ailleurs bouleverserait, bousculerait l'humanité entière.
Dès lors faire résoudre la crise par un seul individu n'a guère de sens et ne nous montrer la résolution de cette crise qu'à travers les yeux seuls de l'héroïne est un contresens absolu.
Dommage le film méritait mieux que ces béances scénaristiques qui gâchent notre plaisir et la crédibilité de l'ensemble.
Que ce ne soit pas de la seule responsabilité de Villeneuve est fort possible (le poids des exigences des studios doit être énorme) mais c'est peu rassurant pour la suite (les projets de suite de Blade Runner et la nouvelle version de Dune).

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découvert le 21/01 - Cinéma -

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revu le 22/01 (pour la énième fois) - augmenté d'un point - TV -

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Découvert le 23/01 - Téléchargement -
Poursuivons , après celle de George Sherman, notre découverte de l'oeuvre des tâcherons de la série B/Z. R.LeBorg n'en a réalisé que 66 en presque 40 ans de carrière (un amateur face aux 110 de Sherman). Mais il est tout aussi médiocre réalisateur, voire pire (je ne suis pas sûr de vouloir les voir tous pour vérifier).
Encore un western pro indien, cette fois sur le chef apache Mangas Coloradas. Mais tout est mauvais des acteurs/trices grimés en indiens, totalement ridicules, aux péripéties plus qu'improbables.
Le pompon aux danses indiennes, particulièrement risibles, et au personnage de Joan Taylor , actrice fort médiocre, dont le personnage d'amazone / apache / comanche / mexicaine atteint les tréfonds du ridicule. Quant à Lex Barker, qui fut Tarzan il campe un chef apache fort peu crédible. Les scènes se suivent sans trop de logique et le résultat final est très très loin des chefs d'oeuvre du genre.

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découvert le 23/01 - TV -

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découvert le 24/01 - Téléchargement -

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Revu le 24/01 - 2ème vision - Note inchangée - TV -

Un jour, quand je serais grand, j'écrirai une vraie critique de ce superbe exemple de la grande comédie italienne, grinçante et cruelle. Ces italiens sont très forts : ils font rire (ou sourire) de thêmes comme la pauvreté (Affreux, Sales et Méchants ou l'Argent de la Vieille ) ou la 1ère Guerre Mondiale, comme ici, alors que ce sont des sujets qui, à priori ne prêtent pas à la gaieté.
Ne nous y trompons pas ces films ne sont pas que drôles. Celui là est même souvent franchement dramatique et poignant ( je pense notamment à la géniale scène où les toujours impeccables Gassman et Sordi discutent de leur camarade mort au combat avec la veuve, qui ignore encore la mort de son mari et partage avec eux leur bonheur simple et authentique.
Cette scène, boudiou, arracherait des larmes au plus badass d'entre vous. (Là je suis content j'ai pu placer le mot le plus à la mode des membres de ce site : badass qui ne veut rien dire mais est très apprécié par ici).
La grande force de Monicelli et de ses subtils scénaristes Age-Scarpelli est de savoir mêler, parfois dans une même scène le ridicule et le grandiose, le pitoyable et le sublime, le cynisme le plus cruel et l'humanisme le plus élevé.
Et tous ces sentiments contradictoires font la force, la lucidité et la cruauté de ce cinéma, qui fut l'un des plus grands d'Europe et qui a disparu sous le double assaut d'un cinéma bis bêtifiant (qui a les faveurs d'une certaine intelligentsia cinéphilique dévoyée) et d'une télévision berlusconienne abrutissante.
Assurément une des plus grandes pertes du cinéma italien (même si le cinéma transalpin frémit à nouveau depuis quelques années).

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découvert le 24/01 - DVD -

Une fichue curiosité, que ce film qui mêle le western et le film de vampire. Ni bon western, ni bon film fantastique, c'est un film fauché et sans réelle inventivité, ni dans un genre ni dans l'autre.

Mais la juxtaposition des thématiques le rend sinon fascinant (çà manque par trop de talent de mise en scène ou d'interprétation) mais au moins intéressant. C'est toujours plus rigolo que le bis italien, par exemple ...

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Découvert le 24/01 - TV -

Mon dieu que c'est bête !!!

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découvert le 26/01 - DVD -

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découvert le 26/01 - DVD -

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découvert le 27/01 - TV -

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découvert le 27/01 - TV -

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découvert le 27/01 - DVD -

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revu le 28/01/ - 2ème vision -1 point de moins - TV -