Jeunesse : Enfantillages *

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L'école est fermée: Carl et Elsa s'amusent dans la maison aux milles motifs de la maman de Carl. Ils "s'échappent" dans le jardin où la jungle et les animaux féroces qu'ils s'imaginent envahissent les illustrations, et se prennent à l'aventure...
Coup de coeur pour les illustrations dans lesquelles je ne me lasse pas de me perdre (c'est chouette comme un catalogue Ikéa en bazar)

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Dans un drôle de monde-déchetterie, Norton, une sortie de petit robot, bricole des bidouilles, tuyaux, trouvailles en tout genre et se construit même un chien. Les deux compagnons explorent et fabriquent des machines jusqu'à tomber sur "CA", un Objet Non Identifié: une FLEUR qu'on passe aux rayons-X et au distillateur pour s'efforcer de comprendre ce que c'est, avant de l'oublier dans un coin... pour mieux la voir resurgir, au beau milieu d'un champ de "CA" sur quatre pages dépliantes. Des fleurs plein les yeux des petits robots...

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Coup de coeur pour les magnifiques illustrations en nuances de gris. Joli album où l'on suit Maman-Ours et son Tout-Petit qui découvre la forêt, les jeux, la rivière, la neige et les câlins

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Un classique britannique assez déstabilisant. Un tigre s'invite pour le thé et vide les placards de la famille avant de partir comme un malotru, laissant la famille toute désemparée, et le dîner et la soirée à improviser.

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A vingt-quatre ans et toutes mes dents je trouve cette histoire terrifiante! Un monstre dévore les doudous d'un enfant...

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Chouette album surprenant qui retourne complètement le cliché du loup. Un p'tit lapin qui semble terrifié n'arrive pas à dormir et harasse sa maman de questions: est-ce que le loup viendra? est-ce que le loup est en bas de la rue? est-ce que le loup parviendra à rentrer dans l'immeuble? est-ce que le loup va frapper à la porte? Il s'avère que le petit lapin... attend son ami de pied ferme!

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Pour les enfants qui n'aiment pas partager. L'assistant lapin d'un grand magicien en a assez qu'on lui vole le premier rôle et se débarrasse du magicien pour avoir le devant de la scène. Il se rend compte petit à petit que tout seul, c'est quand même moins drôle...

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Album complètement déjanté où l'enfant et l'auteur inventent les personnages et les péripéties au fur et à mesure de leur imagination débordante. Une histoire pour apprendre à raconter des histoires, celles d'une pieuvre fan de ukélé qui rêvait de voyages intergalactiques et plein d'autres, suggérées à chaque page puis à la fin du livre.

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Le plus chouette livre sur la colère (grosses colères qui transforment le petit garçon en terrible Bronto Mégalo Saure à chaque fois qu'elles se déclenchent) que je connaisse

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Coup de coeur absolu pour les illustrations irrésistibles! Grand Ours voudrait lire son livre (un certain album intitulé "Tu ne dors pas petit ours?") tranquille sur son fauteuil mais Petit Ours, dans son magnifique coin de caverne, illuminé par ses dessins, ses peluches, ses jouets, sa batterie, ses pots de miel et sa couverture en patchwork, n'arrive pas à dormir - il fait trop noir. Grand Ours apportera une lanterne, puis deux, puis dix, puis une giga-lanterne, mais Petit Ours continue avec ses irrésistibles galipettes et autres danses de l'oreiller et touchage d'orteils irrésistibles jusqu'à ce que Grand Ours finisse par l'emmener dehors, dans le NOIR... à la lumière des étoiles. Parviendra-t-il à finir son livre?
(Album qui fait dire OH-NON-C'EST-TROP-MIGNON à toutes les pages)

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32 pages de poésie dans des images qui me rappellent Brecht Evens: <3
Avant de dormir, un garçon colorie sa maman de chacune des couleurs de sa couverture à pois. Maman rieuse-joueuse devient tour à tour un lion, David Bowie, la nuit, avant l'heure du gris: celle de s'endormir. Très joli lien entre les deux personnages, très jolie idée, très peu de texte.

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Un petit garçon s'inquiète des dégâts que cause son hippopotame imaginaire... Il finit par s'en ouvrir à son père qui le rassure: l'hippopotame fait peut-être déborder la baignoire mais après tout, "on a tous nos petits tracas"... Les yeux du petit garçon s'ouvrent alors sur tous les animaux imaginaires qui accompagnent ses parents, ses amis, les passants dans la rue. Magnifique album sur l'imaginaire.

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Faut-il encore manger les animaux?
Joli casting pour un album écrit par Jean-Baptiste Del Amo (L214) et illustré par Pauline Martin (Mon amour, Ce que papa m'a dit...). Sur chaque double-page, l'auteur décrit un sentiment éprouvé par quiconque a un coeur qui bat. Sur la page de gauche, des animaux l'illustrent; sur la page de droite, un enfant et sa famille l'illustrent. C'est doux, simple et plein de bon sens.

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On suit Petite Mathilde, une petite fille (ses petits yeux, ses petits jouets et ses petits bonheurs) qui apprend à être à la fois une petite fille et une grande soeur...
Le plus chouette album que je connaisse sur ce thème!

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Un album que je trouve terriblement "bobo" - dans ce que ça peut avoir de beau.
Hibou, la petite chatte noire d'une parisienne, vit sa vie de minette libre et indépendante. Un beau jour Hibou disparait, et puis, quand ça lui chante, repointe le bout de son nez... avec un ventre qui s'arrondit.