Jeux les plus joués en 2015

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Mon premier run touche à sa fin et me voilà entrain de pousser les donjons calices (attention : ça pique avec bonheur passé le niveau 3) alors qu'il me reste deux (voire trois) zones pour terminer la quête principale. Compteur : un peu plus de 40h. Je suis parti pour encore faire des centaines d'heures sur un titre From Software. Fuck the hype : Bloodborne est vraiment un grand jeu même si la mélancolie de la mort from Dark Souls me manque indéniablement.

Edit : je viens de commencer un "perfect" run. Pour dire la vérité, je ne pensais pas avoir envie de revenir à Bloodborne si vite ; je pensais même d'ailleurs que le titre serait moins marquant sur le long terme que les deux autres Dark Souls. Bonne nouvelle : il n'en est rien. Le bestiaire - et globalement les boss - sont tellement impressionnants, le level design est un pur régal et la charte esthétique te décroche régulièrement la mâchoire. Le trouillomètre est toujours à son maximum et je suis enfin plus réceptif à la trame décidément très réussie - avec toujours cette écriture si particulière.

GOTY !

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J'ai replongé. Que dire de plus ? Personnellement, même si le monde est moins cohérent, je suis très sensible à cette espèce de psycho trip où les niveaux s'enchevêtrent comme un jeu de l'esprit. La nostalgie de l'écriture, sa tristesse et sa très belle mélancolie, me touchent totalement. Et si les boss sont définitivement moins épiques que ceux d'un Bloodborne, la générosité sans pareil des possibles et les builds quasi infinis font qu'on y revient sans cesse. Un épisode pourtant pas aimé ; en ce qui me concerne : un chef d'oeuvre, ni plus, ni moins.

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Bon, on va pas discuter trois plombes. Pécho un vendredi soir, lâché dimanche soir histoire de. De la bombe, point barre, techniquement tout simplement top, bande originale au poil, toujours aussi accessible et profond, jubilatoire et terriblement fun. Seul regret : le sacrifice de la bataille de ballons sur l'autel du mode en ligne, assez réussi. Le jeu bénéficie jusqu'à présent d'un excellent suivi (première fois que je claque mes euros dans un pack de DLC) cumulé à une durée de vie quasi endless. Gros coup de coeur alors que j'avais gentiment calé sur la version GC et fait l'impasse sur la version Wii.

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Le chara design est globalement pas bon, certains personnages sont tout simplement insupportables et on se tape tranquillement 20h de couloirs sans croiser ni village ni PNJ . Mais voilà : le système de combat - à la fois vif, dynamique et très stratégique - est fantastique, le lore loin d'être inintéressant et il y a Gran Pulse. J'ai pris beaucoup de plaisir à refaire une run depuis la sortie du jeu sur PC (et ce malgré un portage médiocre).

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Pas tellement plus linéaire que Mass Effect qui était déjà (soyons honnêtes) plutôt dirigiste. Fini l'inventaire (on va pas le pleurer), terminé le Mako (sans regret), Mass Effect 2 paraît d’emblée moins palpitant : moins "ouvert", pas de Saren, pas de traque au chrono pour sauver la galaxie. C'est pourtant un putain de remake des 12 salopards qui a de la gueule avec des personnages qui déboitent et imposent le respect, des missions secondaires passionnantes (il était temps) et des décors tellement moins génériques même si le LD reste toujours paresseux. Les séquences de shoot ne sont pas juste meilleures : elles se jouent enfin avec la gniack et… du plaisir ! Sur le papier, Mass Effect 2 paraît inférieur à son premier épisode, dans les faits : c’est tout le contraire. Du super action RPG au background fantastique et avec ce toujours inimitable système de dialogue.

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J'ai donné sa chance à The Witcher avant lui, les deux titres partageant une sortie commune en 2007. Douche froide : terriblement vieux jeu, raide et mal gaulé, j'ai calé instantanément à la première scène de cul soit disant mature. A tord, peut-être ? Mass Effect garde encore une étonnante fraicheur même aujourd'hui, notamment grâce à un système de dialogues dynamiques toujours impressionnant. Tout n'est pas parfait, notamment les phases en mako - d'abord rigolotes – mais vite pénibles sur ces planètes désespérément vides et au relief casse bonbon. Mais comment ne pas s’incliner devant le lore, d’une incroyable richesse, ou l’intrigue, bien calée derrière la traque d’un vrai méchant « classieux » à l’ancienne comme on aimerait en voir plus souvent. On ne va pas tourner autour du pot : je me suis ré-ga-lé. A true classic.

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Chopé en promo juste pour le mode Battle Royale en coop avec les copains. Tendu de chez tendu jusque dans le loot de l'urgence où pour survivre il faudra autant que possible se tenir éloigné des centres urbains pourtant les mieux pourvus en armes et munitions. On passe pas mal de temps à courir la boule au ventre, à l'affut des opposants et des avions lâcheurs de gaz qui réduisent sans cesse la safe zone. Les sensations de tir sont top, les stratégies pour "encercler" l'ennemi et le prendre à revers sont délicieuses et même si le jeu cahote pas mal (moche, pas super fluide ; en gros : une early encore en alpha), on s'amuse comme des petits fous. VALIDAY !

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Totalement dubitatif lors de son annonce par Nintendo, pas du tout client des jeux multi-compétitifs en arène : rien ne me prédestinait à tomber amoureux de Splatoon. Terriblement brillant pad en main, jusque dans ses défauts ; DA et musique accrocheuses, j'enchaîne les parties jusqu'au bout de la nuit, totalement absorbé par les mécaniques, riches et nombreuses, la variété des armes et des approches. Sans aucun doute : Splatoon est la grosse grosse surprise de l'année en ce qui me concerne. Nous verrons sur la durée si Nintendo saura faire vivre le titre comme Mario Kart 8 mais ça semble tellement bien parti...

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Terminé sur sur la PS3 du frangin, quasi bouclé en mode réaliste (pas si difficile) sur ma PS4. Toujours très fort malgré une IA alliée souvent aux fraises qui casse parfois l'immersion. Pas encore fait le DLC.

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Ma n3DS a été l'occasion de me refaire encore (et encore) Ocarina of Time avant d'attaquer le jamais joué (pas taper) Majora's Mask inclus dans mon bundle. Il faut faire les choses bien.

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La DA est à tomber par terre. Les mécaniques de jeux sont vertigineuses et les possibilités nombreuses. La tension est constante, soutenue par une bande son au top. Les paliers de difficultés sont super bien pensés et rapidement l'insurmontable devient "prenable". C'est fin, c'est super malin, ça se joue comme une partie d'échec où l'erreur est souvent fatale. Et c'est customisable à foison. Le seul bémol ? La superbe cinématique d'intro et de fin laissent entrevoir une vraie et longue campagne solo scénarisée que nous n'aurons pas. En l'état, un excellent jeu à la rejouabilité quasi endless et bonus : Klei a promis de le suivre un bon moment (une nouvelle campagne serait top, surtout après le *whodunit* final). Coup de coeur PC du moment et donc... Stay tuned !

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J'ai rêvé de jouer à ce jeu toute ma petite vie. Oui : l'IA a un comportement parfois assez surprenant. Oui : le jeu est un poil long sur sa fin. Malgré tout, je me suis régalé comme rarement, totalement immergé de bout en bout par cette expérience qui va bien au-delà du simple fan service jubilatoire (comme - spoliers - voir les androïdes s'échauffer comme Ash, la séquence sur LV426, le passage avec "Maman", etc). C'est tellement beau que t'en chiales, la bande sonore est fantastique, l'Alien est redoutable lorsqu'il n'est pas "scripté" et provoque la grosse trouille à chacune de ses apparitions, certaines séquences sont anthologiques et... Je pourrais continuer comme ça des heures. C'est mon second run (cette fois en difficulté maximale) et ça fonctionne - en ce qui me concerne - toujours aussi bien. Rêve de gosse / 10.

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C'est qui le patron ? C'est Retro. Super beau malgré le 480p, super fluide, level design de furieux, musique au top, du vrai challenge et des passages où ça se joue au poil de cul ! Du ragequit et du fun, c'est tout simplement le boss de la plateforme 2D devant tous les autres, indiscutable. Dommage qu'il faille secouer la putain de wiimote.

EDIT : Je me refais le jeu sur 3DS. J'ai d'abord tiqué sur les 30 FPS, le jeu paraît moins punchy, moins rythmé alors que précisément Donkey Kong Country Returns est un jeu de rythmes et de mouvements... Mais ! L'impression passe et finalement, le plaisir de pouvoir y jouer partout et surtout, sans gigoter la wiimote l'emporte sans partage.

Pour la superior version, ce sera donc joker avec une botte en touche : je vote pour (le sublime) Tropical Freeze sur Wii U.

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C'est mon premier New Super Mario (du coup : pas de lassitude). C'est aussi le tout premier jeu que je fais en coop et... C'est monstrueusement fun. Accessoirement, super pied que de voir - enfin - un Mario en HD et avec du challenge ! En ce qui me concerne, un pur régal surtout pour un jeu obtenu en "bundle" dont je comptais me séparer aussitôt réception de la machine !

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Jeu acheté à sa sortie en 2002, jamais touché. J'ai eu envie de ressortir mon GameCube pour l'occasion. Trois choses. C'est dur. La caméra est une vraie source de ragequit. Le level design est un régal et les "action stages" sans "jet" un pur délice. Un Mario clairement très particulier, un poil bancal et aux choix de couleurs parfois douteux, à la limite entre frustration et jubilation. En ce qui me concerne, très très attachant.

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Si la caméra 3D vieilli comme elle peut (elle est toujours moins pénible que celle de Super Mario Sunshine), le jeu est toujours aussi "parfait" et je le refais avec la même passion de jadis malgré les heures et les heures déjà passées sur ma N64. Une leçon, un tour de magie qui laisse encore bouche bée devant tant d'inventivité et de générosité.

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Je déteste l'UI qui te rappelle systématiquement quoi faire. Je suis pas fan du mode détective qui te surligne chaque élément de décor avec lequel on peut interagir. Le jeu est raide et les phases de baston / infiltration / boss manquent de naturel et s'enchainent de manière trop mécanique. L'exploration se destine en grande partie au 100% en dénichant des "mystères" sans aucun intérêt ou prise sur le fil du jeu. Malgré tout, j'ai continué à jouer avec plaisir malgré des premières heures décourageantes : l'ambiance est là et les mécaniques de jeu sont loin d'être aussi basiques qu'elles n'y paraissent. Le mix pas inintéressant entre Metroid et Bioshock fonctionne finalement plutôt bien dans l'univers de Batman. Du coup, curieux de choper sa suite histoire de voir si Rocksteady a su revoir sa copie pour le meilleur.

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Pour certains trop bavard. En ce qui me concerne, en terme d'ambiance, mon Metroid favoris, hands down. Level design au diapason, terriblement efficace et parfois flippant, une petite pépite d'or brute qui n'a pour seul défaut que d'être trop courte ! Je n'avais pas refait le jeu depuis sa sortie sur GBA : quel plaisir renouvelé, surtout avec le meilleur écran de ma DS-Lite sauvée du grenier.

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Un bon jeu, sans aucun doute. Mais je commence à tiquer. Pas mal de violence totalement gratuite (la scène de torture by Trevor, sérieusement ?) et puis j'en ai assez qu'on me confisque la manette pour passer en mode "film" si souvent. De beaux moments malgré tout.

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Je n'avais pas retouché au jeu depuis sa phase d'early access sur laquelle j'avais passé pas mal d'heures. Le résultat est vraiment top : comme d'habitude, Amplitude a fait du super boulot jusqu'au bout.