John Cazale, étoile filante du cinéma
John Cazale est une étoile filante dans le cinéma des années 70. Sa filmographie a première vue maigre (seulement 6 films), est en réalité très riche, puisqu'elle comporte 5 chefs-d’œuvre. Une carrière assez efficace !
Bien qu'il n'ait joué aucun rôle principal, John Cazale a su donner une ...
Liste de 6 films
créee il y a plus de 5 ans · modifiée il y a presque 3 ans
Le Parrain (1972)
The Godfather
2 h 55 min. Sortie : 18 octobre 1972 (France). Policier, Drame
Film de Francis Ford Coppola
Scarlatt a mis 9/10.
Annotation :
Déjà excellent, c'est son premier rôle au cinéma : Fredo Corleone, qui lui apportera la majeure partie de sa renommée.
Par la suite il collaborera à deux autres reprises avec Coppola.
Conversation secrète (1974)
The Conversation
1 h 53 min. Sortie : juin 1974 (France). Drame, Thriller
Film de Francis Ford Coppola
Scarlatt a mis 8/10.
Annotation :
Plus en retrait, John Cazale interprète un personnage tout en retenue.
Le Parrain - 2e Partie (1974)
The Godfather: Part II
3 h 20 min. Sortie : 27 août 1975 (France). Gangster, Drame
Film de Francis Ford Coppola
Scarlatt a mis 9/10.
Annotation :
Très certainement son meilleur rôle. Al Pacino et John Cazale y forment un duo parfait.
Un après-midi de chien (1975)
Dog Day Afternoon
2 h 05 min. Sortie : 30 janvier 1976 (France). Drame, Gangster
Film de Sidney Lumet
Scarlatt a mis 7/10.
Annotation :
Encore en duo avec Al Pacino, cette fois il incarne un braqueur maladroit qui ne sais même pas où est le Wyoming...
Voyage au bout de l'enfer (1978)
The Deer Hunter
3 h 03 min. Sortie : 7 mars 1979 (France). Drame, Guerre
Film de Michael Cimino
Scarlatt a mis 9/10 et l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
Si les acteurs sont ici tous excellents, John Cazale se dégage par son jeux en parfaite adéquation avec le rôle.
The American Way (1962)
10 min. Comédie
Court-métrage de Marvin Starkman
Scarlatt l'a mis dans ses coups de cœur.
Annotation :
Bonus :
Première apparition de John Cazale sur pellicule !
Dans ce court métrage, il joue un rôle absurde, tout en arborant fièrement la barbe.
