Jv & Rv : Recommandation
Je suis pas cinéphile, j'en sais rien si ces films sont des bons films. Si vous vous intéressez au medium vidéoludique cela dit, il y a énormément de choses à apprendre de ces films.
Liste de 5 films
créee il y a presque 7 ans · modifiée il y a presque 7 ans
Tron (1982)
1 h 36 min. Sortie : 8 décembre 1982 (France). Action, Aventure, Science-fiction
Film de Steven Lisberger
Annotation :
"Tron n'est pas qu'un jeu, c'est une quête".
Bah Tron, c'est un jeu vidéo quoi.
WarGames (1983)
1 h 51 min. Sortie : 14 décembre 1983 (France). Thriller, Science-fiction
Film de John Badham
Annotation :
"Game design vidéoludique lesson 1.0.1"
Meilleur film sur le jeu vidéo.
Passé virtuel (1999)
The Thirteenth Floor
1 h 40 min. Sortie : 18 août 1999 (France). Science-fiction, Thriller
Film de Josef Rusnak
StandingFierce a mis 6/10.
Annotation :
Ce film expose la base des oeuvres Rockstar . Le joueur se télécharge dans un monde virtuel pour... ???. Un très bon film sur la RV.
"Si vous avez testé l'occulus, le film prend un tout nouveau sens".
J'ai jamais testé l'occulus, mais GTAIV, RDR et GTAV sont des illustrations parfaites du concept du film.
eXistenZ (1999)
1 h 37 min. Sortie : 14 avril 1999. Épouvante-Horreur, Science-fiction, Thriller
Film de David Cronenberg
StandingFierce a mis 7/10.
Annotation :
Le meilleur film sur la réalité virtuelle que j'ai pu voir. Le concept du film explique en quoi le bombardement d'images virtuelles peut faire oublier à son joueur le sens profond des choses qu'il accomplit.
"The story? What story are you talking about?
The game? What game are you talking about?".
Matrix (1999)
The Matrix
2 h 16 min. Sortie : 23 juin 1999 (France). Action, Science-fiction, Arts martiaux
Film de Lilly Wachowski et Lana Wachowski
StandingFierce a mis 8/10 et a écrit une critique.
Annotation :
La trilogie des Wachowski est une déconstruction de la réalité virtuelle et une appologie du jeu vidéo. On y retrouve tous les basiques du game design vidéoludique depuis que le medium existe.
L'utilisation de la cutscene et du NPC pour orienter le joueur dans ses choix, le rouge et le bleu, l'accumulation des gameplay, la prise en compte des failles du système au sein de l'expérience vidéoludique (TAS, exploit, glitch etc) et j'en passe une palette. The Matrix Trilogy nous fait comprendre que le jeu vidéo, bien plus que n'importe quel medium avant lui, repose sur son joueur plus que son auteur.
